Jim Quinn : « Une personne critique pourrait regarder les données du variant Delta et conclure que… »

« Ce travail était strictement volontaire, mais tout animal qui s’en absentait voyait ses rations réduites de moitié ».

– George Orwell, La Ferme des animaux

« Il y a trois types de mensonges – les mensonges, les foutus mensonges et les statistiques ».

– Benjamin Disraeli

Il est étonnant de constater à quel point on peut mentir avec des statistiques lorsqu’on ne fournit pas de contexte et/ou qu’on oublie des informations clés dans son faux récit. Le 4 juillet, l’ensemble du récit de la peur du covid était en train de disparaître, les cas s’effondrant à des niveaux jamais atteints et la machine à profits des vaccins de Big Pharma s’essoufflant. C’est alors que ceux qui contrôlent le récit médiatique ont commencé à diffuser des histoires sur le variant indien et la tragédie imminente. Alors que le nombre de cas dépassait 350 000 par jour, les médias prédisaient que les corps s’empilaient dans les rues.

Ils ont omis de rappeler que l’Inde compte 1,4 milliard d’habitants, soit quatre fois la population des États-Unis. Si l’on considère le nombre de cas par million, la flambée indienne était encore inférieure de 70 % au pic enregistré aux États-Unis en janvier. Puis les cas ont chuté de 75 % en quelques semaines, sans déploiement massif de vaccins. Mais ils ont distribué de grandes quantités d’ivermectine. Ça ne doit être qu’une coïncidence. Tout le monde sait que l’ivermectine est réservée aux vaches et aux chevaux, selon les « experts » de la FDA.

Avec l’effondrement du cas indien, les pourvoyeurs de peur avaient besoin de donner au variant indien un nouveau nom effrayant – variant Delta. Ainsi, l’Inde, avec un taux de vaccination de 10 %, a connu un effondrement complet des cas. Pendant ce temps, le Royaume-Uni et Israël, dont les taux de vaccination sont parmi les plus élevés au monde (64 % et 60 % respectivement), ont connu une forte augmentation des cas du variant Delta. C’est presque comme si les vaccins avaient créé la poussée de Delta. On pourrait même en conclure que les vaccins sont un échec complet et total, avec un nombre important d’effets indésirables, une efficacité limitée pendant 5 mois et des effets à long terme inconnus.

« L’épidémie » aux États-Unis a commencé peu après le 4 juillet, et les médias ont construit le récit de la peur de la Delta jour après jour. Biden, Fauci, Walensky et le reste des putes de Big Pharma ont fait leur devoir quotidien en racontant des conneries aux moutons. Ils ont soudoyé des entreprises, des universités et des gouverneurs de gauche pour qu’ils rendent la piqûre obligatoire, puisqu’ils ne pouvaient pas le faire au niveau fédéral.

Le théâtre des masques s’est rouvert. Au diable le fait que les masques n’ont absolument rien fait pour ralentir ou arrêter la propagation de ce virus. Alors qu’ils recommençaient à communiquer le nombre total de cas, malgré le fait que le test PCR était déjà complètement discrédité, la FDA ayant retiré son autorisation d’urgence (EUA) et l’ayant retiré du marché à partir du 31 décembre, j’ai remarqué ce qu’ils ne rapportaient pas : le nombre de tests.

Le nombre de cas signalés aux États-Unis a augmenté de 750 % depuis le 4 juillet. Par coïncidence, le nombre de tests a augmenté de plus de 500 % depuis le 4 juillet.

Pourquoi cette augmentation considérable des tests ?

Si vous voulez plus de cas, il suffit de faire plus de tests de masse sur les personnes ne montrant aucun signe de maladie. C’est pourquoi le taux de mortalité est 65% moins élevé que lorsque les cas étaient au même niveau en février.

Une personne dotée d’un esprit critique pourrait examiner les données et conclure que ces vaccins renforcent le virus et créent des variants.

Elle pourrait également conclure que le variant Delta est beaucoup moins mortel que le virus original.

Elle pourrait également conclure que l’alliance impie entre le gouvernement, les médias de masse, les médias sociaux et Big Pharma a renforcé la peur afin de forcer les vaccins à entrer dans les veines des résistants au vaccin, en créant des passeports vaccinaux et en tentant de mettre en place un système de surveillance numérique pour traquer ceux qui résistent et détruire leur vie.

Une personne à l’esprit critique pourrait se demander pourquoi de telles mesures coercitives sont utilisées pour injecter dans nos corps une thérapie génique expérimentale pour un virus relativement non mortel avec un taux de survie de 99,7 %. D’autant plus qu’il ne fait aucun doute que le vaccin ne vous empêche pas de contracter le virus, de le propager ou d’en mourir.

• Au mieux, il s’agit d’une thérapie qui peut réduire les symptômes chez certaines personnes.
• Au pire, l’ADE (facilitation de l’infection par des anticorps) commencera à montrer sa vilaine tête à l’automne.

La campagne actuelle visant à discréditer l’ivermectine est un signe de désespoir, car ils n’ont pu contraindre et effrayer qu’un peu plus de 50 % de la population à se faire injecter cette concoction de Big Pharma. Avec un pic de 155 000 cas par jour, le désespoir de Fauci et de ses acolytes est visible pour tous.

Ce matin, j’ai soumis à mon employeur mon exemption religieuse, rédigée en termes forts. Je devrais savoir d’ici une semaine s’il l’accepte. S’il la refuse, la balle sera dans son camp, car on ne m’injectera jamais cette merde dans mon corps. Ils peuvent me licencier et je n’en souffrirai pas. Ils ne peuvent pas me forcer à contaminer mon corps. Je suis un homme libre et je ne m’agenouillerai pas. Je ne me soumettrai pas. La résistance n’est pas futile. J’espère qu’un nombre suffisant de mes compatriotes se joindront à moi pour choisir la liberté plutôt que la servitude.

« Si vous aimez la richesse mieux que la liberté, la tranquillité de la servitude mieux que le concours animant de la liberté, rentrez chez vous en paix. Nous ne vous demandons ni conseils ni armes. Accroupissez-vous et léchez les mains qui vous nourrissent. Que vos chaînes soient légères, et que la postérité oublie que vous étiez nos compatriotes. »

– Samuel Adams

Traduction de par Aube Digitale