Cassandre Fristot, « la jeune femme à la pancarte », interpellée par la police de Darmanin

Le ministre de l’Intérieur macrono-sarkoziste Gérald Darmanin avait prévenu : « De tels propos ne resteront pas impunis ». Moins de 24 heures après son signalement, Cassandre Fristot a été interpellée par les services de police, manifestement très efficaces lorsqu’il s’agit de céder aux caprices du réseau israélien de France (« On est très clairement en présence d’une pancarte à l’antisémitisme assumé, il faut être intraitable », avait notamment déclaré la LICRA).

La manifestante de 33 ans Cassandre Fristot était recherchée (pour avoir brandi dans une manifestation une pancarte « avec les noms de plusieurs responsables politiques, hommes d’affaires et intellectuels, dont certains sont juifs ») depuis dimanche suite à l’ouverture d’une enquête du parquet de Metz.

Elle a été interpellée à Hombourg-Haut, en Moselle, à 11h45 ce lundi et a été placée en garde à vue dans les locaux de la Sûreté départementale de Moselle... Il y a des terroristes dont les cas sont traités moins rapidement !

Ce matin, les services de police ont interpellé la jeune femme brandissant cette pancarte. https://t.co/QRDaXAd2sy

— Gérald DARMANIN (@GDarmanin) August 9, 2021

Selon la préfecture de Moselle, son domicile a été perquisitionné ce matin. « La police regarde si l’on trouve dans son logement de quoi expliquer ou conforter la présomption d’antisémitisme » a précisé la préfecture.

Confirmant son statut d’enseignante, le ministre de l’Éducation nationale Jean-Michel Blanquer a annoncé qu’elle sera « suspendue en attendant les suites disciplinaires »...

Passée par le Front national il y a dix ans, le parti de Marine Le Pen se défend aujourd’hui de tout lien et renvoie la « faute » sur Florian Philippot : « Elle a été mon assistante pendant deux mois. Le temps que je l’embauche et que je la débauche... C’était une fille présentée par l’équipe de Philippot dans l’Est. Ça ne m’étonne pas qu’on la retrouve là. Ces dingueries ne me font pas rire du tout... C’est honteux », lâche Louis Aliot.

Dans le genre lâcheté, bêtise, petits calculs et soumission d’extrême droite, on a ça aussi :

La terreur exercée sur les esprits par le réseau israélien de France est telle que même le ministre de la Culture Roselyne Bachelot s’est sentie obligée de se justifier rétroactivement :

Que ma pique à l’égard de l’inconsistance de François Hollande soit interprétée par certains comme une attaque antisémite me révolte.
Ceux qui aujourd’hui détournent cyniquement la tragédie de l’holocauste voudraient banaliser leur outrance.
Je vous vois et je vous combats.

— Roselyne Bachelot (@R_Bachelot) August 8, 2021

En 2014, elle avait en effet twitté ce qui en 2021 est considéré (par le Système de domination) comme une attaque terroriste antisémite de niveau 1 :

Et puisqu’on parle de justice expéditive :

Pendant que Cassandre Fristot est en garde à vue pour blasphème, on apprend que le ressortissant rwandais et auteur présumé de l’incendie de la cathédrale de Nantes « s’est présenté en milieu de matinée à la brigade de gendarmerie de Mortagne-sur-Sèvre et a dit avoir tué un ecclésiastique ».

Le corps du père Olivier Maire a en effet été retrouvé à Saint-Laurent-sur-Sèvre ce matin, au sein des locaux de la communauté des frères missionnaires montfortains. Le père Maire, 60 ans, hébergeait depuis plusieurs mois le clandestin (et potentiel criminel) rwandais, par « charité »...

Heureusement pour l’Africain, il n’a, selon nos sources, prononcé aucun nom oligarchique lors de son geste !