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Vendredi, 19 Avr. 2024

Covid – Nos gouvernements sont-ils au service d’intérêts mafieux ?

Auteur : Jean-Dominique Michel | Editeur : Walt | Lundi, 19 Avr. 2021 - 08h08

Si la question restait ouverte il y a encore six mois (selon l’adage de Michel Rocard selon lequel l’hypothèse de la stupidité suffit la plupart du temps sans qu’on ait besoin de penser à un complot), elle ne l’est plus guère aujourd’hui : nous sommes à l’évidence confrontés avec la gestion sanitaire en cours à une opération criminelle de grande envergure, orchestrée bien sûr mondialement mais avec la participation active des autorités suisses et françaises.

D’où la question posée : le Conseil fédéral (pour la Suisse) est-il délibérément impliqué dans cette opération ? Cette question reste à ce jour ouverte et c’est si tout va bien le « tribunal de Nuremberg 2 » vers lequel nous nous dirigeons qui l’établira à travers ses enquêtes pénales.

Pour la « Task Force » et le « Conseil scientifique » français, la réponse est plus évidente : ces instances n’ont même pas besoin de se mettre au service de la corruption institutionnelle puisqu’elles en sont l’émanation et rien d’autre que le bras armé !

Ce qui s’est vu au besoin dans un déni de science systématique, leurs communications visant à terroriser la population au mépris des connaissances scientifiques actuelles et non à renseigner utilement sur l’épidémie et les mesures à prendre.

À tel point que quand les autorités ne se soumettent pas purement et simplement aux recommandations délirantes de ces cercles, certains démissionnent bruyamment, ulcérés que l’imposition de leur projet de dictature sanitaire rencontre le moindre obstacle !

Les exemples confirmant la corruption de ces cercles sont tellement nombreux qu’on a vraiment l’embarras du choix. On citera, dans ce flot continu d’antiscience, le relais par la « Task Force » suisse de cette information douteuse que 50% des contaminations avaient été le fait de porteurs asymptomatiques ! Or ce concept est aussi contestable que contesté : le propre des épidémies respiratoires virales, c’est que c’est quand (et seulement quand) on a des symptômes qu’on est contagieux !

Le taux annoncé est de toute manière grotesque. Les meilleures études suggèrent à l’inverse que cette idée est purement et simplement fausse, comme la fameuse étude réalisée en Chine sur 10 millions de personnes, dans laquelle 300 porteurs sains ont été identifiés, avec 1 174 contacts. Résultat ? Pas une seule contamination.

Le papier brandi des mois plus tôt par la Task Force indiquait en conclusion comme limitations les éléments suivants :

« Nous avons utilisé un modèle simpliste pour représenter un phénomène complexe. Par conséquent, ces résultats manquent de précision quantitative (…)

Les proportions exactes de transmission présymptomatique et jamais symptomatique ne sont pas connues (…)

Ceci s’applique également aux estimations de la période d’incubation, qui sont basées sur des fenêtres d’exposition et d’apparition individuelles difficiles à observer avec précision et qui comportent donc une incertitude substantielle, même en s’appuyant sur les estimations de plusieurs études ».

Ce genre de précautions est certes usuel en ce que les articles de la littérature scientifique concluent routinièrement que « les données présentées ont des limites » et que « d’autres études sont requises ». De là à brandir une étude pareille pour justifier des mesures coercitives (dont l’inutilité a été démontrée depuis) laisse plus indigné que songeur…

En France, on apprend que les données présentées par le premier ministre Jean Castex pour justifier un n-ième serrage de vis devant l’Assemblée étaient rien moins que falsifiées… ce qui rappelle évidemment un certain épisode où un secrétaire d’État américain (lui-même étant de bonne foi, induit en erreur par son gouvernement) était allé manipuler l’Assemblée générale des Nations unies en brandissant une fiole-bidon.

Un membre du « Conseil scientifique », le Pr Arnaud Fontanet, a pareillement produit pour l’Institut Pasteur une étude, falsifiée elle aussi, pour justifier la fermeture des restaurants. Là encore, nous voguons en pleine dystopie : aucune étude sérieuse au monde ne démontre que les bars et restaurants soient particulièrement impliqués dans la diffusion de l’épidémie. Récemment encore, une campagne de prélèvements diligentée par les services de sapeurs-pompiers de la région de Marseille a montré l’inverse !

Et donc le Pr Fontanet de produire de la « fake science » pour que Jean Castex puisse justifier une mesure arbitraire et injuste de plus. Pour ceux qui douteraient que de pareilles choses soient possibles, l’entretien accordé par le Pr Vincent Pavan (docteur en mathématiques et chercheur à l’Université d’Aix-Marseille) au micro d’André Bercoff devrait lever les doutes. Sachant qu’Arnaud Fontanet est un récidiviste en la matière ayant déjà sévi avec la complicité de la revue Nature – comme le lien référencé ici le documente !

Bref, du travail de faussaire dont nul citoyen de bonne foi ne peut même imaginer l’existence – s’il a confiance en la probité de la science et que ses autorités sont au service du bien commun.

Or c’est exactement là que le bât blesse.

La science aujourd’hui n’est pas intègre (elle est même largement frauduleuse) et nos gouvernements ne servent pas l’intérêt des populations qui les ont élus.

Si la publication d’études falsifiées a de quoi faire tousser l’honnête citoyen, on conçoit que les affirmations supra ont de quoi leur faire prendre des pierres pour me lapider… et c’est effectivement la tentation de certains crédules endoctrinés par la désinformation officielle et les campagnes de bashing.

Nous touchons bien là au cœur du problème !

Comme je l’indique dans la présentation que je viens de faire devant le Conseil scientifique indépendant  du Collectif-Santé, la plupart des gens se rendent évidemment compte que nos gouvernements ont multiplié les décisions incohérentes et les erreurs. Ils voient bien que les dés sont pipés par exemple quand on autorise (et achète massivement) un remède inefficace et toxique comme le Remdesivir et qu’on combat des médicaments sans dangers et vraisemblablement utiles comme les macrolides ou l’ivermectine.

Mais la pierre d’achoppement réside dans cette difficulté : pour que mes affirmations soient vraies, il faudrait pensent-ils qu’il y ait une opération mafieuse mondialement orchestrées, à laquelle devraient participer les organisations internationales, les gouvernements, les autorités scientifiques (jusqu’aux hôpitaux universitaires) en plus des pharmas dont on peut bien sûr comprendre qu’elles y auraient un intérêt évident.

Et donc les gens se disent, de bonne foi et avec bon sens, qu’un tel complot est simplement impossible. Et ils ont en partie raison : ce n’est pas exactement ainsi que les choses s’organisent.

Ce qu’ils ignorent en revanche, c’est que le système sanitaire mondial est depuis deux décennies et de notoriété publique (mais aussi politique, académique et scientifique) bel et bien vendu à des intérêts privés qui, selon les conclusions du centre d’éthique Safra de l’Université de Harvard, corrompent la recherche scientifique, la pratique médicale et la bonne gouvernance des systèmes de santé.

Qui sont les « complotistes » qui affirment cela ? Je vous laisse le découvrir dans la vidéo qui suit en donnant juste un indice : vous serez surpris de leur identité si vous ne connaissez pas encore cette réalité. Et tout est bien sûr aussi solidement documenté qu’il est possible (de nombreuses références supplémentaires figurent dans mon livre « Anatomie d’une crise sanitaire » paru aux éditions Humensciences).

« Mais cela voudrait dire que les compagnies pharmaceutiques ont des pratiques délictueuses ou criminelles avec la complicité des autorités ? » objectera avec douleur celui qui peine (c’est neuropsychologiquement naturel) à laisser ses illusions s’effondrer comme une barre d’immeuble qu’on dynamite.

Il découvrira dans cette présentation que depuis l’an 2000, aux États-Unis uniquement, les compagnies pharmaceutiques ont été condamnées à 994 reprises dans le cadre de procédures civiles et pénales avec des amendes cumulées dépassant 56 000 000 000 (oui cinquante-six milliards !)  de dollars. Nous ne sommes donc pas dans un scénario complotiste ni même un épiphénomène anecdotique : le problème est depuis longtemps systémique

Si vous êtes prêts à vous aventurer dans les méandres de cette corruption institutionnelle sévissant dans le domaine de la santé, il n’y a plus qu’à cliquer sur les liens des deux vidéos qui suivent.

La première reprend ma présentation uniquement, la seconde l’entier de la séance du Conseil scientifique indépendant du 15 avril avec d’autres interventions passionnantes des Dr Hélène Banoun, biologiste et Vincent Pavan, mathématicien, sur les chiffres de contaminations actuelles et de décès 2020 attribués au Covid, tous truqués évidemment ; suivi d’un débat avec les Dr Louis Fouché, Laurent Toubiana et Philippe de Chazournes, sous la présidence du Dr Eric Menat.

Mentionnons pour terminer un extrait du récent passage du Pr Raoult sur BFM TV où le directeur de l’IHU de Marseille est revenu sur les fraudes et magouilles à l’appui de la campagne de diffamation « scientifique » de son protocole de traitement. On y voit un journaliste, Bruce Toussaint (aussi mauvais que ses collègues de chaîne) s’écrier en substance : « je n’arrive pas à vous croire car cela impliquerait une manœuvre concertée ».

Ce qui montre – si besoin était – comment et combien l’immense majorité des journalistes ne font plus leur travail et en deviennent parfois franchement idiots. Il aurait suffi de dix minutes de recherches au bon endroit pour qu’il commence à être moindrement informé de ces réalités.

On ne peut que souhaiter en effet que les innombrables « idiots utiles » qui sévissent en ce sens (par méconnaissance et détermination à ne pas savoir) puissent commencer à s’éduquer à ces réalités, en Suisse comme en Belgique comme au Québec comme en France.

En attendant, faisons-le : « nous avons le droit d’être intelligents ! » relevait un certain esprit légèrement provocateur, ajoutant : « moi j’ai appris que la corruption existait quand j’étais enfant ! ».

Certains journalistes, politiques et universitaires croient encore dur comme fer au Père Noël. Il y a de quoi s’en vouloir un peu de les désillusionner. Même si c’est pour leur – et nôtre – bien.


- Source : Anthropo-logiques

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