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Vendredi, 03 Mai 2024

Tour du monde des traitements – Inde, interview avec le Dr Chaurasia : « l'ivermectine, ca marche »

Auteur : Xavier Azalbert interview avec le Dr Chaurasia | Editeur : Walt | Jeudi, 25 Mars 2021 - 08h25

Tour du monde des traitements – l'Inde. Nous avons eu le plaisir d'interviewer le Docteur Anil Chaurasia, médecin dans la région du Uttar Pradesh qui a soigné plus de 1500 cas covid, pour un panorama de la situation en Inde.

FranceSoir : Dr Chaurasia, comment l’Inde s’en est-elle sortie dans sa gestion de la Covid-19 ?

AC : À mon avis, l’Inde a obtenu des résultats relativement meilleurs dans cette pandémie covid19, par rapport aux zones occidentales et européennes.

FS : Quelle est la position de l’Inde en ce qui concerne le traitement précoce, par rapport à la vaccination dans sa réponse à la pandémie?

AC : Plus tôt en avril, j’avais posté sur Twitter que les régions du monde frappées par le paludisme, comme l’Inde et l’Afrique et d’autres, seraient moins touchés par la Covid19. Cette affirmation était fondée sur le fait que l’usage de la chloroquine avait montré un effet positif dans le virus du SRAS-coV de 2002. En Inde, un pic de cas a été observé, à partir de mai 2020, qui a culminé au milieu du mois de septembre.

En mars 2020, le Conseil indien de la recherche médicale (ICMR) a inclus l’hydroxychloroquine dans les protocoles anticovid indiens. Dans la première semaine d’août 2020, l’État indien de l’uttar pradesh, a inclus l’ivermectine dans leurs protocoles anticovid.

FS : Comment les décisions concernant les lignes directrices relatives au traitement de Covid-19 sont-elles prises?

AC : Dans l’Uttar Pradesh, l’ivermectine a été incluse dans le protocole de l’État par le groupe de travail covid, recruté par le gouvernement de l’État et l’hydroxychloroquine a été introduite dans le protocole à partir des lignes directrices fournies par l’ICMR (au niveau national).

FS : Pfizer a retiré sa demande de RTU pour le vaccin en Inde, car les organismes de réglementation ont posé plus de questions. Savez-vous pourquoi les organismes de réglementation ont avancé ces interrogations et quelles en étaient les raisons?

AC : Je viens d’apprendre dans les médias que les gens de Pfizer sont en négociation pour lancer leurs vaccins covid en Inde. Une des raison possible peut être liée à la politique du « fabriqué en Inde » prônée par le gouvernement indien, une autre est que le vaccin n’a pas rempli certaines des normes imposées par le gouvernement.

FS : En ce qui concerne l’ivermectine, quand l’Inde a-t-elle commencé à l’utiliser comme traitement ? Et pourquoi ?

AC : Selon mes connaissances, l’ivermectine a été introduite pour la première fois dans le protocole anticovid du Sanjay Gandhi Postgraduate Institute of Medical Sciences, Lucknow (SGPI), en juin 2020. En août 2020, elle a été incluse dans le protocole de l’Uttar Pradesh. Il y a eu peu d’essais internes sur l’ivermectine par SGPGI.

FS : Quels sont les résultats associés à l’utilisation de l’ivermectine dans le traitement de la covid-19 ?

AC : Les résultats des essais d’ivermectine par SGPGI LUCKNOW n’ont pas été publiés publiquement, mais mes collègues qui travaillent dans des hôpitaux covid, m’ont indiqué beaucoup de résultats positifs de l’ivermectine dans le traitement des cas covid. Dans ma propre pratique clinique, j’ai traité plus de 1500 cas covid, post-covid et covid long, avec de l’ivermectine, de l’hydroxychloroquine et d’autres médicaments anticovid. L’ivermectine a eu un résultat bien plus que satisfaisant.

FS : nous avons vu un certain nombre de personnes indiquant que le dosage requis pour l’ivermectine dans les cellules humaines serait beaucoup plus élevé que celui dans l’étude australienne originale.  Quelle est votre position en ce qui concerne la posologie et l’efficacité?

AC : Oui, les premières études in vitro de l’effet inhibiteur de l’ivermectine ont été très encourageantes en avril-mai 2020. Un peu plus tard, d’autres études dans les cellules de vero ont montré que le dosage inhibiteur pourrait être excessivement élevé.

Cependant dans bien des pays de par le monde, de bons résultats ont été rapportés sur l’usage de l’ivermectine en prophylaxie ou en traitement. Avec un dosage normal. Dans ma pratique clinique, les résultats étaient tout à fait satisfaisants pour le traitement et la prophylaxie.

En septembre-octobre 2020, @ice9 un scientifique américain avec un pseudonyme sur Twitter, a fait des expériences en utilisant l’ivermectine dans cellules calu-3. Les résultats étaient excellents et l’ivermectine a montré un IC-50 (mesure de concentration) avec la posologie de 400-800mcg par kg de poids individuel. C’était peut-être avant-gardiste et révolutionnaire mais cela permettait une reconnaissance officielle.

FS : Quel est le dosage recommandé en Inde?

AC : le dosage utilisé en Inde dans le protocole officiel de l’uttar pradesh est imprimé sur des kits d’ivermectine fournis par le gouvernement de l’État.

FS : Y a-t-il des effets secondaires observés? Dans la pharmacovigilance en Inde êtes-vous au courant de problèmes avec l’utilisation de l’ivermectine?  En tant que médecin avez-vous rencontré des problèmes ?

AC : aucun effet secondaire majeur ou mineur n’a été enregistré/publié pour l’utilisation de l’ivermectine. Dans ma propre expérience en utilisant l’ivermectine dans plus de 500 cas, aucun patient ne s’est plaint d’effets secondaires et ceci malgré l’utilisation de dosage de 12mg par jour pendant 7 jours.

FS : Vous avez peut-être entendu dire que l’Agence européenne des médicaments (EMA) a déconseillé l’utilisation de l’ivermectine contre la covid ? Êtes-vous au courant de cela ?  Cette décision vous surprend-elle ?

AC : L’EMA s’est alignée sur les décisions des autres agences comme la FDA, CDC, NIH ou OMS. En fait leur décision ne m’a pas beaucoup surpris.

***

Confinement, un an après – Cela ne fonctionne pas, cela n’a jamais fonctionné et cela n’était pas censé fonctionner

Allumez une bougie sur le gâteau d’anniversaire le plus triste du monde ! La politique gouvernementale la plus destructrice du siècle s’accélère et ne semble pas vouloir ralentir.

Et donc nous arrivons au 23 mars, et au premier anniversaire du confinement [Grande Bretagne]. Ou, comme nous l’appelons ici, les deux semaines les plus longues de l’histoire.

1 an. 12 mois calendaires. 365 jours de plus en plus éreintants.

Cela fait longtemps que « 2 semaines pour aplanir la courbe » est devenu un mensonge flagrant. En juillet, c’est devenu une blague de mauvais goût. La courbe a été aplatie, le NHS était en sécurité et les applaudissements étaient chaleureux et sincères.

…et rien de tout cela n’a fait de différence.

Ce n’était pas un sacrifice pour le « bien de tous ». Ce n’était pas une décision difficile avec des arguments des deux côtés. Ce n’était pas un scénario risques-bénéfices. Les « risques » étaient en fait des certitudes, et les « bénéfices » entièrement fictifs.

Parce que le confinement ne fonctionne pas. Il est vraiment important de s’en souvenir.

Même si vous souscrivez à l’idée que « Sars-Cov-2 » est une entité unique et discrète (ce qui est loin d’être prouvé), ou qu’elle est incroyablement dangereuse (ce qui est manifestement faux), le confinement n’a pas fonctionné pour, de quelque manière que ce soit, limiter cette supposée menace.

Les confinements. Ne. Fonctionnent. Pas.

Ils ne font aucune différence, les courbes ne s’aplatissent pas, le nombre de R0 ne diminue pas et les vies ne sont pas sauvées (bien au contraire, comme nous l’avons tous vu).

Il suffit de regarder les graphiques.

Celui-ci, qui compare les « décès dus au Covid » au Royaume-Uni (confinement) et en Suède (pas de confinement) :

Ou encore celui-ci, qui compare les « décès dus au Covid » en Californie (confinement) et en Floride (pas de confinement) :

De la Biélorussie à la Suède en passant par la Floride, le Nicaragua et la Tanzanie, les preuves sont claires. Le « Covid », quoi que cela signifie en réalité, n’est pas affecté par les mesures de confinement.

Assigner à résidence l’ensemble de la population n’est pas bénéfique pour la santé publique. En fait, c’est (de manière assez prévisible) incroyablement contre-productif.

Les dommages causés par la fermeture des entreprises, la limitation de l’accès aux soins de santé, le report des traitements et des diagnostics, le report des opérations chirurgicales, l’augmentation de la dépression, la montée en flèche du chômage et la pauvreté de masse ont été discutés à outrance. L’ampleur de l’impact ne peut être surestimée.

Le Dr David Nabarro, envoyé spécial de l’Organisation mondiale de la santé pour Covid-19, a déclaré ceci à propos des confinements en octobre dernier :

« À l’Organisation mondiale de la santé, nous ne préconisons pas le confinement comme principal moyen de lutte contre le virus […] il suffit de voir ce qui est arrivé à l’industrie du tourisme […], de voir ce qui arrive aux petits exploitants agricoles […] il semble que nous pourrions avoir une multiplication par deux de la pauvreté dans le monde d’ici l’année prochaine. Nous pourrions bien avoir au moins une multiplication par deux de la malnutrition infantile […] C’est une catastrophe mondiale terrible, épouvantable ».

Une terrible catastrophe mondiale. La malnutrition infantile doublée.

La « pandémie » n’a pas fait ça, les confinements ont fait ça. Ils n’allaient jamais atteindre leurs objectifs déclarés. Et qui plus est, ils n’ont jamais été destinés à atteindre ces objectifs.

Trop souvent, le langage mou des médias parle de « mauvais jugements », « d’erreurs » ou « d’incompétence ». Les prétendus critiques prétendent que le gouvernement a « paniqué » ou « sur-réagi ». C’est absurde. L’excuse la plus facile et la plus bidon qui n’ait jamais existé.

« Oups », disent-ils, avec un haussement d’épaules emphatique et un sourire carnassier, « je suppose que nous avons fait une erreur ! » Peu flatteur, mais mieux que la vérité.

Parce que la vérité est que le gouvernement ne se trompe pas, n’a pas peur ou n’est pas stupide… il est malveillant. Et malhonnête. Et cruel.

Toutes les souffrances du confinement étaient entièrement prévisibles et délibérément imposées. Pour des raisons qui n’ont rien à voir avec l’aide aux personnes et tout à voir avec leur contrôle.

Il a été plus qu’évident pendant la majeure partie des cinquante-deux dernières semaines que l’ordre du jour du confinement n’était pas la santé publique, mais la préparation de la « nouvelle normalité » et de la « grande réinitialisation ».

Une série de programmes conçus pour saper complètement les libertés civiles dans le monde entier, annulant des décennies (voire des siècles) de progrès social. Une re-féodalisation de la société, avec les 99% qui prennent allègrement leur blouse de paysan « pour protéger les plus vulnérables », tandis que l’élite fait du prosélytisme sur la valeur des règles dont elle admet volontiers qu’elles ne s’appliquent pas à elle.

Et nous avons tous eu des vies ruinées et une année de temps précieux perdue. Pour rien. Vous avez été enfermé pendant deux semaines qui ont duré 365 jours. Pour rien.

…ou plutôt, pour tout. Parce que c’est ce qu’ils essaient de nous prendre. Tout. Et la seule façon de les arrêter est de ne pas les laisser faire. De simplement refuser de consentir.

Ne laissons pas le confinement avoir un deuxième anniversaire.

Kit Knightly - Off Guardian

Traduit par Recherches Covid-19


- Source : FranceSoir

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