L’actrice américaine Natalie Portman a réécrit plusieurs contes de fées classiques pour les rendre « neutres en termes de genre » afin que les enfants puissent « défier les stéréotypes de genre » (Vidéo)
Le livre de contes de fées de Natalie Portman, intitulé Natalie Portman’s Fables et corrigé en fonction du sexe, comprend de vieux classiques comme Le Lièvre et la Tortue, La souris des Champs et la souris des Villes et Les Trois Petits Cochons.
Breitbart rapporte : Selon le magazine Hello!, Mme Portman estimait que les contes de fées séculaires « ne reflétaient pas le monde ». Et elle voulait avoir des histoires à lire à ses propres enfants qui éliminent l’accent mis sur les personnages masculins.
« Je me suis retrouvée à changer les pronoms dans beaucoup de leurs livres parce qu’il y avait tellement de personnages masculins, disproportionnés par rapport à la réalité », a déclaré la star de Thor. « Les garçons ont besoin de voir que les femmes ont une multitude de possibilités qui s’offrent à elles, de considérer ce qu’elles pensent et ressentent, et comment elles vivent le monde ».
Portman a également grondé ceux qui lancent des bromures selon lesquels les femmes sont « féroces » ou « confiantes ».
« Les femmes n’ont pas seulement besoin d’être des guerrières badass ou d’être féroces et confiantes. Nous avons aussi besoin de personnages qui doutent d’eux-mêmes, qui font des erreurs, parce que nous faisons tous des erreurs, nous sommes humains », s’est-elle exclamée. « Tant de gens disent des choses comme “Les femmes sont plus fortes et de meilleurs leaders” et pensent qu’ils font une déclaration féministe. Mais c’est limitatif pour une femme, pour n’importe qui, d’être mis sur un piédestal ».
Portman a également été une grande militante pour stopper le financement des services de police aux États-Unis, lorsqu’elle a sauté à bord du mouvement Defund the Police. En juin de l’année dernière, elle a rejoint une liste de célébrités pour signer une lettre prônant la fin des forces de l’ordre américaines.
L’actrice de Star Wars a également déclaré que son propre « privilège blanc » lui faisait craindre l’expression « defund the police ».
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