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Vendredi, 26 Avr. 2024

Vote électronique par anticipation : le coup de grâce présidentiel !

Auteur : JF.Kersca | Editeur : Walt | Jeudi, 18 Févr. 2021 - 09h20

Encore un hasard, une coïncidence, un truc dont on ne métrise pas les rouages. Dans le journal "Le Monde", financé à près de 5 millions d'euros par la fondation Bill et Mélinda Gates, libre et indépendant donc !, sortait, ce matin, une tribute de 38 Maires et Députés pour pousser au vote électronique anticipé. Hasard, coïncidence, le fameux bidule dont on ne métrise pas les mécanismes complexes, notre gouvernement chéri et adoré a quant à lui proposé un amendement, cet après-midi au Sénat, qui permet la mise en place du vote anticipé sur machine à voter. Soit le journal "Le Monde" a du nez, soit l'état et certains meRdias ne font qu'un.

Cela ressemble trait pour trait à l'entente apparemment cordiale, mais fragile, de l'anémone et du poisson clown. Tant que le poisson clown permet à l'anémone de bouffer, en servant d'appât, il est protégé et, surtout, il n'est pas dévoré tout cru. Cela s'appelle, vivre en symbiose. La question que l'on se pose avec ma pauv' Lucette, est la suivante : lequel, de Macron ou du torchon Le Monde, est le poisson clown ?

Nous voici revenus quelques semaines en arrière, lors de l'élection présidentielle américaine et la victoire usurpée du vieillard sénile et incontinent, Joe Bidon. Nous allons encore être taxés de "complotisme", ce qui est plutôt une reconnaissance en ces temps de duperies et de tromperies, mais n'est-ce pas tout simplement le plan ? Prendre possession de chaque pays au moment des élections présidentielles par le fameux vote électronique anticipé, une sorte de coup d'état mondial organisé par Big Pharma et Big Tech pour imposer la grande réinitialisation de Klaus Schwab.

Macron est l'envoyé spécial de la finance Rothschild, l'enfant légitime de la banque d'affaire. Il est grillé, enfin j'ose espérer !, depuis le massacre des gilets jaunes, le dépouillement ou dépouillage des retraités - dont beaucoup ont voté pour lui - et, bien sûr, de la mascarade du SARS-CoV-2 et de sa maladie le covid-1984. Confinements, couvre-feux, masque obligatoire et une peur orchestrée, entretenue et amplifiée chaque jour pour faire marcher droit les moutruches et autres mougeons, ces chimères de laboratoires, mi-mouton mi-autruche, mi-mouton mi-pigeon, qui ne sont pas viables et risquent tôt ou tard de se réveiller, et ainsi reprendre forme humaine, et d'exiger la tête de des tortionnaires, des geôliers, des étouffeurs d'enfants, des empoisonneurs sur un plateau d'argent. La scalpation du dictateur sur pattes. Il faut donc tout cloisonner, absolument tout. Les flics, les robocops, sont prêts. Les scientifiques et médecins de plateaux, la radios et la presse d'état, tous sont au taquet pour la mise en œuvre de la réélection de Macron en 2022.

Pour être sûr et certain que l'élection ne réserve aucune mauvaise surprise "à la Trump", il ne manque que la possibilité de tricher honnêtement, par décret. Et l'affaire sera dans le cul DES ÂNES (ou des inutiles, des substituables, des sans dents, des fainéants ou des chimpanzés du futur, c'est selon).

Voici donc, la France, sur le point de devenir le deuxième pays, après les Etats-Unis, à se faire voler l'élection présidentielle et à devoir purger cinq années supplémentaires de Macron, autant dire de Rothschild, Soros, Gates, Schwab, Turner, etc. aux commandes de l'État dit français.

La triche, en politique, existe depuis perpette. C'est d'ailleurs pour cette raison que je refuse catégoriquement de participer à cette gabegie. Mais là, la tromperie devient officielle et légale grâce au vote électronique par anticipation. Et Macron, tout comme Biden au USA, peut compter sur la collaboration pleine et entière, zélée même !, des GAFAM pour couper la chique du premier qui oserait ne serait-ce qu'essayer de dénoncer l'arnaque du vote électronique par anticipation. La fraude, qui se prépare actuellement, ne sera plus cachée, comme ce fût le cas lors des dernières élections, elle sera au vu et au su de la foule, cette foule tétanisée et épuisée par quasiment deux années  (élection en 2022) de SARS-CoV-2 et de sa maladie, le covid-1984. 

Il approche, le coup de grâce présidentiel.

***

Vote par anticipation: tollé des oppositions après l'amendement surprise de l'exécutif

L'amendement déposé par le gouvernement au Sénat pour permettre le vote par anticipation pour l'élection présidentielle de 2022 a provoqué un tollé dans l'opposition, bien au-delà de la chambre haute, qui devrait le stopper net jeudi dans l'hémicycle.

L'amendement prévoit que les électeurs peuvent demander à voter de manière anticipée "dans l'un des bureaux ouverts à cette fin", parmi une liste de communes arrêtée par le ministre de l'Intérieur. Le vote anticipé, une première en France, aurait lieu à une date fixée par décret, durant la semaine précédant le scrutin, et serait effectuée sur une machine à voter.

Les sénateurs, majoritairement de droite, ont déjà rejeté largement, mercredi en commission, le texte qui sera soumis jeudi au vote du Sénat, dominé par l'opposition de droite.

"L'exécutif ne peut traiter le Parlement de la sorte. Je pense que les sénateurs ne voteront pas cet amendement de +coin de table+", s'est ému le président LR du Sénat, Gérard Larcher, regrettant mercredi soir dans le Figaro n'avoir été "ni informé ni consulté sur cette proposition".

Au-delà du Palais du Luxembourg, la vague d'indignation a envahi toute la sphère politique, de Jean-Luc Mélenchon à Marine Le Pen.

"Ils n'ont pas le temps d'instaurer la proportionnelle, mais ils ont le temps de magouiller un vote anticipé. Pour nous, c'est hors de question !", a tweeté la présidente du Rassemblement national, donnée au second tour face à Emmanuel Macron en 2022, selon les sondages.

Le chef de file des Insoumis y voit "une onde malfaisante (qui) passe sur la démocratie", soulignant qu'"aux USA on en est venu aux mains", en référence à l'assaut meurtrier du Capitole pour contester la défaite de Donald Trump à la présidentielle américaine. Le vote anticipé, déjà pratiqué dans plusieurs pays européens, y avait atteint un niveau record, en pleine pandémie du Covid-19.

"Je ne veux pas d'une élection à l'américaine. Imaginons qu'il se passe quelque chose de tragique dans les jours qui précèdent l'élection", a souligné le patron des députés LR Damien Abad sur radio J.

L'Association des maires de France (AMF) a, elle, jugé l'initiative "inacceptable", déplorant une absence totale de concertation.

Instaurer un vote par anticipation permettrait de "faire baisser l'abstention", mais "le gouvernement n'imposera rien" et c'est le Parlement "qui décidera" in fine, a assuré le patron des députés LREM Christophe Castaner.

Emmanuel Macron a pris, en 2017, "l'engagement de donner le plus de possibilités de participer au scrutin aux Français", a abondé le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal.

L'amendement du gouvernement a été déposé mardi sur un projet de loi technique visant à ajuster, comme il est d'usage, les modalités de la prochaine présidentielle.

L'opposition de droite est immédiatement montée au créneau.

- "Manoeuvre politicienne" -

Le patron des sénateurs LR Bruno Retailleau a dénoncé "une manoeuvre politicienne". "C'est évidemment un amendement qui est décidé à l'Elysée et qui poursuit un objectif en faveur d'Emmanuel Macron", a-t-il déclaré à l'AFP.

Le sénateur LR Philippe Bas estime qu'on "ne fait pas une expérimentation sur un sujet aussi sensible que la présidentielle", jugeant qu'une telle "improvisation" risquerait de "jeter la suspicion sur la sincérité de l'élection".

Aujourd'hui, seules 66 communes sont équipées de machines à voter, un moratoire interdisant depuis 2008 aux autres communes d'en acquérir. Et la commission des Lois du Sénat rappelle que le Conseil constitutionnel a alerté à de nombreuses reprises sur les risques de fraude liés à leur utilisation.

A gauche, Eric Kerrouche (PS) juge que l'amendement du gouvernement, "structurellement défectueux", "plombe une bonne idée potentielle". Les sénateurs PS sont en effet favorables à "offrir une palette de techniques de vote" pour s'adapter à l'évolution de la société.

Le vote du Sénat signera-t-il l'arrêt de mort de l'amendement gouvernemental ? "En principe", répond Philippe Bas qui ajoute cependant que la procédure parlementaire "est pleine de ressources".

Le gouvernement pourrait notamment lever la procédure accélérée décidée sur ce texte, pour permettre une deuxième lecture à l'Assemblée nationale. "Ça porterait la signature d'une volonté de passer en force", estime M. Bas, qui espère que le gouvernement retirera l'amendement polémique avant le vote dans l'hémicycle.

Véronique MARTINACHE - Paris (AFP)

Lire aussi: Présidentielle 2022 : le gouvernement souhaite instaurer un vote par anticipation


- Source : JF.Kersca

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