Selon le procureur Nicola Gratteri, qui se spécialise dans les affaires de la mafia en Italie, la campagne anti-corruption de François bouleverse les projets des clans criminels qui ont de bonnes relations avec l’église catholique.

« Ceux qui tiraient bénéfice de la puissance et de la richesse de l'Église, sont inquiets. Le pape est en train de déplacer les centres du pouvoir économique au Vatican », a expliqué Gratteri.