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Le président Trump vient-il de lancer une « opération d’infiltration » contre le « marécage corrompu » du parti démocrate ?

Auteur : Peter Koenig | Editeur : Walt | Lundi, 16 Nov. 2020 - 06h57

Permettez-moi de commencer cet article en disant que je ne suis pas un partisan de Trump, mais un observateur neutre qui souhaite que ces importantes élections se déroulent dans l’équité et la transparence.

Il semblerait que les démocrates aient commis des fraudes électorales massives. Il n’est pas dans l’intérêt des États-Unis et du monde entier que le prochain président étasuniens sorte d’un marécage de corruption et de fraude.

***

Rappellez-vous quand Donald Trump a dit qu’avant les élections de 2016, il voulait être président pour nettoyer le marécage à Washington ?

Eh bien, il le fait peut-être juste, tardivement. Le président Trump vient peut-être de lancer une vaste opération d’infiltration contre la corruption flagrante des « démocrates ».

Il savait qu’ils planifiaient une fraude électorale massive, lorsqu’ils ont insisté pour que les votes par correspondance des citoyens étasuniens vivant aux États-Unis, similaires aux votes par correspondance, soient comptés à la fin.

Le prétexte des votes par correspondance était le « covid », c’est-à-dire la distanciation sociale, le fait de ne pas se rapprocher les uns des autres en faisant la queue pour voter. Une excuse parfaite, transformée en une fraude électorale massive.

  • Entre 3h30 et 4h30 du matin, ils ont « trouvé » 140 000 bulletins de vote par correspondance pour Biden dans le Wisconsin ;
  • Entre 3h30 et 5h du matin, ils ont « trouvé » 200 000 bulletins de vote par correspondance pour Biden dans le Michigan ;
  • Entre 2 heures et 4 heures du matin, ils ont trouvé un million (1 000 000) de bulletins de vote par correspondance en Pennsylvanie.
  • Tous les bulletins de vote par correspondance ont été « reçus » dans la matinée du 4 novembre, bien au-delà de la date limite de vote. Tous pour Biden, aucun pour Trump

Vidéo de référence sur la minute 1:45″.

Les républicains n’ont pas été autorisés à être présents à proximité du dépouillement du scrutin en tant qu’observateurs, comme le veut la règle courante dans le dépouillement des élections, à savoir que l’opposition est présente, pour observer le processus de dépouillement. Exemple donné en Pennsylvanie par l’ancien maire de New York, Rudy Giuliani, qui dénonce « la fraude et la corruption » à Philadelphie, sa ville natale ; voir la vidéo ci-dessous:

Et la fraude et la corruption ont cours dans au moins deux autres États, le Wisconsin et le Michigan, et peut-être aussi en Géorgie – et peut-être dans d’autres États.

Le président Trump n’était pas d’accord en principe avec le vote par correspondance des citoyens avec les États-Unis, car cela ne se fait généralement pas. Les votes par correspondance oui, étaient disponibles pour des militaires et des Étasuniens vivant à l’étranger, mais pas pour des citoyens étasuniens vivant aux États-Unis. Trump a finalement accepté de faire le vote par correspondance, mais il a déclaré que ces votes par correspondance doivent avoir été reçus avant la date limite du vote – soit  le 3 novembre – et doivent être comptés en premier.

Cependant, le Comité national démocrate (DNC) a décidé autrement, à savoir que les votes par correspondance seraient comptés en dernier. Cela laisse la place à la fraude, car ces derniers votes ne seront très probablement pas comparés aux votes déjà exprimés. De plus ces votes ne seront pas non plus examinés avec la rigueur de validité qui caractérise la façon dont les bulletins de vote sont vérifiés aux bureaux de vote, faisant en sorte que des doubles votes peuvent être possibles. On a signalé des votes de  « personnes décédés ».

M. Trump avait une avance considérable dans les États clés de la Pennsylvanie, du Wisconsin et du Michigan, ainsi qu’en Géorgie, ce jusqu’à ce que les bulletins de vote par correspondance arrivent et soient comptés – voir la vidéo ci-dessus. C’est alors que le vent a tourné en faveur des démocrates, donnant ainsi la victoire à Biden.

Le 7 novembre, les grands médias ont déclaré Joe Biden vainqueur de l’élection présidentielle des États-Unis de 2020, avec 290 voix contre 214 (270 sont nécessaires pour gagner), même si aucune autorité légale de l’État ou du gouvernement n’avait encore reconnu la victoire de Biden. (Voir aussi « Les médias essaient de RUSHER le résultat avant que la FRAUDE ne soit révélée ! Vidéo en anglais, mis en ligne le 7 novembre 2020, ci-dessous)

 

Au même moment, Biden a reçu des messages de félicitations de l’Union européenne, ainsi que de certains des plus fervents comparses étasuniens, des pays comme l’Allemagne, la France et le Royaume-Uni – et sans d’autres d’autres gouvernements. Cela rappelle la reconnaissance (sic) par l’Union européenne de Juan Guaidó, en tant que président du Venezuela.

L’équipe de Trump a dû soupçonner que la fraude pouvait faire partie de la stratégie des « démocrates ». Ils ont planifié une opération d’infiltration, avec l’aide de la CIA. Chaque bulletin de vote valide distribué aux électeurs éligibles comporte une petite marque d’eau presque méconnaissable.

Des poursuites judiciaires sont déjà en cours dans les trois principaux États charnières et d’autres pourraient suivre. Des recomptages seront demandés. Le niveau de fraude peut être déterminé sur la base des recomptages et des filigranes sur les bulletins de vote valides.

Ainsi, l’élection est loin d’être terminée, et pourrait se terminer comme en 2000 par une décision finale de la Cour suprême. Mais nous n’en sommes pas encore là.

Il y a aussi d’autres dangers.

Déjà maintenant, des émeutes ont lieu dans les rues. Des protestations pour ou contre le réveil, les Noirs, la police… tout ce que vous voulez. Elles sont financées par des forces perturbatrices, comme la Open Society et d’autres fondations, qui poursuivent des objectifs similaires. Plus il y aura d’émeutes de ce type, plus la décision finale sera reportée. De tels bouleversements sociaux ne seraient-ils pas une bonne raison pour déclarer officiellement l’état d’urgence – la fusion avec la loi martiale ?

Ce serait l’exemple ultime pour le monde d’une « démocratie » totalement défunte et dystopique.

Traduit par Maya pour Mondialisation

L'auteur, Peter Koenig, est économiste et analyste géopolitique. Il est également spécialiste des ressources en eau et de l’environnement. Il a travaillé pendant plus de 30 ans à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé dans le monde entier dans les domaines de l’environnement et de l’eau. Il donne des conférences dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud.


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