www.zejournal.mobi
Jeudi, 28 Mars 2024

Pétition pour l'arrêt des mesures sanitaires de la « crise Covid 19 », dégénérant en dictature mondiale et crimes contre l'humanité !

Auteur : Association France Monde | Editeur : Walt | Mercredi, 23 Sept. 2020 - 16h06

Auteur(s) : Association France Monde

Destinataire(s) : Cour Pénale Internationale

 

 

 

 

 

La pétition

Pétition pour l'arrêt des mesures sanitaires de la "crise Covid 19", dégénérant en dictature mondiale et crimes contre l'humanité !

Cette pétition a pour but de demander une enquête de la Cour Pénale Internationale, Oude Waalsdorperweg 10 2597 AK, La Haye, dans le cadre de ses compétences, afin qu’elle puisse ouvrir une procédure à l’encontre des responsables des mesures sanitaires prises sans fondement médical légitime, aussi à l’encontre de ceux qui les mettent en œuvre ou les médiatisent alors qu’il est évident que ces mesures sont illégales, abusives, arbitraires, qu’elles ont eu et ont des conséquences criminelles et sont prises au mépris de la véritable santé publique, au mépris de l’intérêt général, avec pour but principal de défendre des intérêts politiques, économiques.

Cette pétition vise donc tous ceux qui par leurs actes ont engagé leur responsabilité pénale en raison des fautes et crimes commis eu égard à leur gestion désastreuse de la crise ; fautes criminelles  qui ressortent, entre autre, des faits listés par de nombreux médecins signataires : « DU MESSAGE D’ALERTE INTERNATIONAL DE PROFESSIONNELS DE SANTÉ AUX GOUVERNEMENTS ET AUX CITOYENS DU MONDE : STOP : à la terreur, à la folie, à la manipulation, à la dictature, aux mensonges et à la plus grande arnaque sanitaire du 21e siècle en date du 26 Août 2020 ».

Cette pétition vise les crimes dénoncés commis sur les territoires des États partie ou qui acceptent la juridiction de la CPI en l'espèce, restent de sa compétence pour les Etats qui, en vertu du principe de complémentarité ont à titre principal la responsabilité de poursuivre et juger les crimes les plus graves, notamment en application de l’Article 212-1 Modifié par LOI n°2013-711 du 5 août 2013 - art. 15, ne l’auront pas fait. La CPI exercera sa compétence quand un tribunal national en ayant la capacité n’aura pas manifesté la volonté d'exercer la sienne pour poursuivre les coupables donneurs d’ordres manifestement illégaux ou ceux qui les exécutent ou les médiatisent à outrance pour annihiler toute résistance chez les citoyens et les peuples. 

Cette pétition a pour but d’obtenir la saisie de la Chambre préliminaire de la CPI qui a notamment pour fonction d'autoriser l'ouverture d'une « enquête » par le Procureur afin de délivrer les mandats d'arrêt et citations à comparaître, de garantir les droits de toutes les personnes impliquées dans la procédure (protection des témoins, des victimes et de décider si les charges, listées par les crimes relevés, entre autre, par les médecins signataires de l’Alerte, qui devront être confirmées ou non lors d'une audience dédiée à cette question, cette étape étant obligatoire avant l'ouverture du procès le cas échéant. S’il y a procès :

  • La section de première instance devra réunir la Chambre de première instance et ses 3 juges afin de conduire le procès qui suivra la confirmation des charges en respectant les droits des accusés, des victimes et des témoins et rendra un verdict de condamnation ou d'acquittement et se prononcera sur la peine le cas échéant ; elle pourra ordonner que des réparations soient accordées aux victimes.
  • Le cas échéant la section d'appel devra se prononcer.
  • Dans ce cadre devra être saisi le Bureau du Procureur (composé du Procureur, de ses procureurs adjoints et des équipes enquêteurs, juristes, etc, devra engager les « examens préliminaires » afin de déterminer s'il existe une base raisonnable pour ouvrir une « enquête » étant précisé que quiconque peut envoyer des « communications » telles les déclarations des médecins relevant les graves dysfonctionnements qui peuvent servir de fondement aux examens préliminaires afin d’évaluer la gravité des crimes ; de vérifier qu’il n’y a pas d’enquêtes ou de poursuites en cours pour les mêmes crimes à l’échelle nationale ; d’examiner s’il y a des raisons de penser que l’ouverture d’une enquête ne servirait pas les intérêts de la justice et des victimes ; d'ouvrir des « enquêtes » (sur autorisation de la Chambre préliminaire) puis les coordonner et les diriger, à charge et à décharge, en utilisant « tous les faits et éléments de preuve pertinents pour évaluer la responsabilité pénale des personnes impliquées »; afin de, le cas échéant, délivrer les mandats d'arrêt et citation à comparaître à l’encontre des personnes incriminées… ; de convaincre la Chambre préliminaire que les charges doivent être confirmées ; et le cas échéant de démontrer la culpabilité des accusés « au-delà de tout doute raisonnable » ; de fixer le montant des réparations en faveur des victimes (restitution, indemnisation, réhabilitation, etc…)

 

Contexte de la Pétition, pour la France (transposable à l’ensemble des nations impliquées) :

Monsieur Emmanuel Macron, en tant que chef de l’Etat Français, lors de son allocution télévisuelle à propos de l’épidémie de coronavirus, à Paris, le 16 mars 2020 a déclaré « Nous sommes en guerre », face au coronavirus et il a sonné la « mobilisation générale » en indiquant que l’épidémie s’étendait de manière « inquiétante » et en tant que chef de l’Etat, il a décidé d’imposer un confinement partout en France...

Liste des éléments à charge :

Il ressort du constat ci-dessous mentionné que des médecins ont dénoncé le 26 Août 2020, les mesures sanitaires imposées par de nombreux Etats comme ayant provoqué la terreur, la folie, suite à la manipulation d’une dictature, à ses mensonges qui constituent la plus grande arnaque sanitaire du 21e siècle. Ces professionnels de santé, à travers plusieurs pays au monde dénoncent et demandent l’arrêt de toutes les mesures folles et disproportionnées qui ont été prises depuis le début pour lutter contre le SARS-CoV-2 (confinement, blocage de l’économie et de l’éducation, distanciation sociale, port de masques pour tous, etc…) car elles sont totalement injustifiées, elles ne sont basées sur aucune preuve scientifique et elles violent les principes de base de la médecine fondée sur les preuves et dont les effets collatéraux ont mis en danger et mettent, aujourd’hui encore, en danger la vie, la sécurité, la santé, la liberté de centaines de millions de personnes dans le monde…

Cela ressort du :

Ce texte dénonce de graves atteintes aux droits de l’homme et fait ressortir des actes que l’on peut qualifier de crimes commis contre l’humanité qui engagent, en droit international, gravement la responsabilité des individus qui les commettent.

Pour mémoire, nous devons nous rappeler que les crimes contre l’humanité ont été mentionnés pour la première fois dans un traité dans la Charte de Nuremberg de 1945, mais leur définition d’alors est différente de celle utilisées aujourd’hui.

Depuis les années 1990, les crimes contre l’humanité ont été codifiés dans plusieurs traités internationaux comme
le Statut du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (1993),
le Statut du Tribunal pénal international pour le Rwanda (1994) et
le Statut de Rome de la Cour pénale internationale (1998).

Contrairement à d’autres violations des droits humains, les crimes de guerre n’engagent pas la responsabilité de l’État mais la responsabilité pénale d’individus, ce qui signifie que les auteurs de ces agissements peuvent être jugés et tenus pour personnellement responsables.

Les actes interdits comprennent : le meurtre, l’extermination, l’esclavage, la déportation ou le transfert forcé de population, l’emprisonnement, la torture, les violences sexuelles, la persécution de tout groupe identifiable, les disparitions forcées de personnes, le crime d’apartheid, d’autres actes inhumains de caractère analogue causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves à l’intégrité physique ou à la santé physique ou mentale.

Statut de Rome de la Cour pénale internationale, art. 7

De plus, ces actes engagent sur le plan national la responsabilité des personnes ayant adopté ou soutenu, exécuté ces mesures sanitaires illégales et criminelles, comme en droit Pénal Français le prévoit l’Article 212-1 Modifié par LOI n°2013-711 du 5 août 2013 - art. 15 indique que constitue également un crime contre l'humanité et est puni de la réclusion criminelle à perpétuité l'un des actes ci-après commis en exécution d'un plan concerté à l'encontre d'un groupe de population civile dans le cadre d'une attaque généralisée ou systématique :

1° L'atteinte volontaire à la vie ;

2° L'extermination ;

3° La réduction en esclavage ;

4° La déportation ou le transfert forcé de population ;

5° L'emprisonnement ou toute autre forme de privation grave de liberté physique en violation des dispositions fondamentales du droit international ;

6° La torture ;

7° Le viol, la prostitution forcée, la grossesse forcée, la stérilisation forcée ou toute autre forme de violence sexuelle de gravité comparable ;

8° La persécution de tout groupe ou de toute collectivité identifiable pour des motifs d'ordre politique, racial, national, ethnique, culturel, religieux ou sexiste ou en fonction d'autres critères universellement reconnus comme inadmissibles en droit international ;

9° La disparition forcée ;

10° Les actes de ségrégation commis dans le cadre d'un régime institutionnalisé d'oppression systématique et de domination d'un groupe racial sur tout autre groupe racial ou tous autres groupes raciaux et dans l'intention de maintenir ce régime ;

11° Les autres actes inhumains de caractère analogue causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves à l'intégrité physique ou psychique.

Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables aux crimes prévus par le présent article.

LE MESSAGE D’ALERTE INTERNATIONAL DE PROFESSIONNELS DE SANTÉ A ETE ADRESSE AUX GOUVERNEMENTS ET AUX CITOYENS DU MONDE, IL  FAIT RESSORTIR UN GRAND NOMBRE DE DELITS ET DE CRIMES :

Attendu que ce n’est pas la première fois que l’humanité fait face à un nouveau virus : elle a connu le H2N2 en 1957, le H3N2 en 1968, le SARS-CoV en 2003, le H5N1 en 2004, le H1N1 en 2009, le MERS-CoV en 2012 et fait face tous les ans au virus de la grippe saisonnière. Pourtant, aucune des mesures prises pour le SARS-CoV-2 n’a été prise pour ces virus-là.

Que c’est sur des assertions fallacieuses que ces mesures sanitaires sont prises car les responsables de ces mesures et ceux qui les appliquent nous disent  : -«Mais, le SARS-CoV-2 est très contagieux» et que les médecins signataires du message d’alerte indiquent : C’EST FAUX. Cette affirmation est d’ailleurs rejetée par des experts de renommée internationale

1 . Une simple comparaison avec les autres virus permet de constater que la contagiosité du SARS-CoV-2 est modérée

2,3 . Ce sont des maladies comme la rougeole qui peuvent être qualifiées de très contagieuses. Par exemple, une personne atteinte de rougeole peut infecter jusqu’à 20 personnes alors qu’une personne infectée par ce coronavirus n’en contamine que 2 ou 3, soit : 10 fois moins que la rougeole. MESSAGE D’ALERTE INTERNATIONAL 2 -«Mais, c’est un virus nouveau» et ils précisent : H1N1 et les autres virus qu’on a cités était aussi des virus nouveaux. Pourtant : on n’a pas confiné les pays, on n’a pas bloqué l’économie mondiale, on n’a pas paralysé le système éducatif, on n’a pas fait de distanciation sociale et on n’a pas dit aux gens sains de porter des masques. De plus, certains experts disent qu’il est possible que ce virus circulait déjà avant mais qu’on s’en est pas rendu compte

4 . -«Mais, on n’a pas de vaccin» et nous répondons : au début de l’H1N1 on n’avait pas non plus de vaccin, comme à l’époque du SARS-CoV. Pourtant : on n’a pas confiné les pays, on n’a pas bloqué l’économie mondiale, on n’a pas paralysé le système éducatif, on n’a pas fait de distanciation sociale et on n’a pas dit aux gens sains de porter des masques. -«Mais, ce virus est beaucoup plus mortel» et nous répondons : C’EST FAUX. Car rien que comparé à la grippe et si on prend en compte la période entre le 1er Novembre et le 31 Mars, il y a eu au niveau mondial -lorsque ces mesures ont été prises- : 860,000 cas et 40,000 morts alors que la grippe dans la même période de 5 mois infecte, en moyenne, 420 millions de personnes et en tue 270,000. De plus, le taux de létalité annoncé par l’OMS (3,4%) était largement surestimé et était rejeté dès le début par d’éminents experts en épidémiologie.

5 . Mais, même en prenant ce taux de létalité, on constate que ce coronavirus est trois fois moins mortel que celui de 2003 (10%) et 10 fois moins mortel que celui de 2012 (35%). -«Mais, la COVID-19 est une maladie grave» et ils répondent : C’EST FAUX. Le SARS-CoV-2 est un virus bénin pour la population générale car il donne 85% de formes bénignes, 99% des sujets infectés guérissent, il ne constitue pas un danger pour les femmes enceintes ainsi que les enfants (contrairement à la grippe), il se propage moins rapidement que la grippe ;

6 et 90% des personnes décédées sont des personnes âgées (qui doivent, bien sûr, être protégées comme les autres populations à risque). C’est pour cela que des experts ont qualifié de «délire» l’affirmation que c’est une maladie grave et ont affirmé, le 19 Août dernier, que «ce n’est pas pire que la grippe»

7 . -«Mais, il y a des personnes asymptomatiques» et nous répondons : dans la grippe aussi, 77% des sujets infectés sont asymptomatiques et ils peuvent aussi transmettre le virus

8 . Pourtant : on ne dit pas, chaque année, aux sujets sains de porter des masques et on ne fait pas de distanciation sociale malgré que le grippe infecte 1 milliard de personnes et en tue 650,000. -«Mais, ce virus entraîne une saturation des hôpitaux» et nous répondons : C’EST FAUX. La saturation ne concerne que quelques hôpitaux mais on fait croire aux gens que tout le système hospitalier est saturé ou que la saturation est imminente alors qu’il y a des milliers d’hôpitaux dans certains pays. Est-il raisonnable et vrai d’attribuer, par exemple, à 1000 ou 2000 hôpitaux une situation qui ne concerne que 4 ou 5 hôpitaux ? Rien d’étonnant, aussi, au fait que certains hôpitaux soient saturés car il s’agissait de foyers épidémiques (comme la Lombardie en Italie ou New-York aux USA). Il ne faut pas oublier que les hôpitaux de beaucoup de pays ont été submergés (y compris les soins intensifs) lors de précédentes épidémies de grippe ;

9 . et qu’à cette époque, on parlait même de : "tsunami" de patients dans les hôpitaux, "d’hôpitaux saturés", de tentes érigées à l'extérieur des hôpitaux, de "zones de guerre", "d’hôpitaux effondrés" et d’un "état d'urgence". Et pourtant : on n’a pas confiné les pays, on n’a pas bloqué l’économie mondiale, on n’a pas paralysé le système éducatif, on n’a pas fait de distanciation sociale et on n’a pas dit aux gens sains de porter des masques.

Les médecins et spécialistes exposent que ces mesures folles à cause, aussi, de leurs conséquences catastrophiques qui ont déjà commencé à apparaître : suicide de gens angoissés comme ça été rapporté en Chine, développement de pathologies psychiatriques, paralysie du parcours éducatif des élèves et des étudiants à l’université, impacts négatifs et dangers sur les animaux, négligence des autres maladies (surtout chroniques) et augmentation de leur mortalité, augmentation des violences conjugales, pertes économiques, chômage, crise économique majeure (peu de gens savent que la crise économique de 2007-2008 a entraîné le suicide d’au moins 13,000 personnes rien qu’en Europe et en Amérique du Nord), graves conséquences sur l’agriculture, déstabilisation des pays et de la paix sociale et risque de déclenchement de guerres.

Le crime contre l’humanité est constitué par ces chefs d’accusation car ils constituent bien une persécution de groupes identifiables, et des actes inhumains causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves à l’intégrité physique ou à la santé physique ou mentale et à la vie de populations entières et des individus qui les forment.

Ces fautes commises et leurs conséquences criminelles ressortent, notamment, d’un éditorial publié dans l’European Journal Of Clinical Investigation qui a dénoncé, dès le début, les méfaits : des mesures extrêmes prises non fondées sur des preuves, des informations exagérées sur la dangerosité réelle du virus et des fake news propagées (y compris par des grandes revues dont la responsabilité est engagée…). Certains ont même comparé cette pandémie à la celle de la grippe de 1918, ce qui est un MENSONGE et une manipulation puisqu’elle a tué 50 millions de personnes, ce qui n’a absolument rien à voir avec le nombre de morts de ce coronavirus.

Les médecins qui donnent l’alerte dénoncent et refusent l’obligation abusive, (qui constitue une atteinte aux libertés fondamentales), des applications de traçage des contacts comme c’est le cas dans certains pays car le SARS-CoV-2 est un virus bénin qui ne justifie pas une telle mesure. D’ailleurs, selon les recommandations internationales et quelle que soit la sévérité d’une pandémie (modérée, élevée, très élevée), le traçage des contacts n’est pas recommandé. Lors des épidémies de grippe, faisons-nous un traçage des contacts ? Pourtant, le virus de la grippe infecte beaucoup plus de gens et comporte plus de populations à risque que ce coronavirus.

Les médecins relèvent et disent  STOP à la censure des experts et des professionnels de santé pour leur empêcher de dire la vérité (surtout dans les pays qui se disent démocratiques). Ils partagent l’avis des experts qui dénoncent l’inclusion des dépistages dans le comptage des cas, même si les sujets sont bien portants et asymptomatiques. Ceci a abouti à une surestimation des cas. On rappelle que la définition d’un cas en épidémiologie est : «la survenue de nombreuses issues possibles : maladies, complications, séquelles, décès. Dans la surveillance dite syndromique, on définit comme cas la survenue d’évènements non spécifiques tels que des groupements de symptômes ou des motifs de recours aux soins, hospitalisations, appels de services d’urgence». Ils disent donc : il faut séparer les dépistages des cas et il faut arrêter de les mélanger. Ils partagent  l’avis des experts qui dénoncent le fait qu’aucune distinction n’est faite entre les personnes mortes du virus et les personnes mortes avec le virus (avec des co-morbidités), le fait que la cause du décès soit imputée au SARS-CoV-2 sans test ni autopsie et que des médecins soit mis sous pression pour que la COVID19 soit marquée comme cause de décès, même si le patient est décédé d’autre chose. Ceci aboutit à une surestimation du nombre de morts et constitue une manipulation scandaleuse des chiffres car au cours des épidémies de grippe saisonnière par exemple, on ne travaille pas de cette façon. D’autant plus que 20% des patients COVID sont co-infectés par d’autres virus respiratoires aussi.

Après réévaluation, seuls 12% des certificats de décès dans un pays européen ont montré une causalité directe du coronavirus. Dans un autre pays européen, les professeurs Yoon Loke et Carl Heneghan ont montré qu'un patient qui a été testé positif mais traité avec succès puis sorti de l'hôpital, sera toujours compté comme un décès COVID même s'il a eu une crise cardiaque ou a été fauché par un bus trois mois plus tard. Le directeur du CDC (Centers for Disease Control and Prevention) d’un pays en Amérique du Nord a reconnu, le 31 Juillet, que des hôpitaux avaient bien une incitation financière perverse à gonfler les chiffres de décès dus au coronavirus.

Ils partagent l’avis des experts qui ont mis en garde contre l’intubation quasi systématique de certains patients, due à la peur folle du virus. Il faut que les protocoles soient modifiés car ils ont abouti à un nombre élevé de morts.

Ces morts sont des crimes car ils constituent une persécution de groupes identifiables, et des actes inhumains causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves à l’intégrité physique ou à la santé physique ou mentale et à la vie de populations entières et des individus qui les forment.

Les médecins indiquent qu’il est important qu’une révision des performances analytiques et cliniques des tests mis sur le marché soit faite, y compris les tests virologiques. Beaucoup de kits sont utilisés actuellement alors qu’une partie importante de leurs performances (par exemple : la spécificité analytique, surtout pour les quatres coronavirus saisonniers) n’a pas été évaluée, ce qui est grave car en plus des cas de faux négatifs, la littérature rapporte des faux positifs inquiétants, ce qui peut surestimer le nombre de cas et de morts. Selon un professeur de microbiologie, le taux de faux positifs peut atteindre 20%. Certains articles scientifiques qui rapportent ces cas de faux positifs ont été censurés. Ils disent donc : STOP à l’obligation des tests de dépistage à cause de ce manque de fiabilité et du manque de vérification de leurs performances et parce que rien dans ce coronavirus (qui est un virus bénin et avec un taux de létalité faible) ne le justifie. Comme nous l’avons dit : la grippe infecte chaque année 1 milliard de personnes, soit : 30 fois plus que le SARS-CoV-2 et pourtant, aucun test n’est exigé pour les voyage.

Ils disent la vérité qui a été cachée aux citoyens : n’ayez pas peur, ce virus est bénin sauf si vous faites partie des populations à risque. Si les chaînes de télévision font la même chose avec la grippe, les chiffres seront beaucoup plus élevés que pour le coronavirus ! La télévision vous rapportera chaque jour en moyenne : 3 millions de cas et 2,000 morts de grippe. Et pour la tuberculose, la télévision vous rapportera chaque jour en moyenne : 30,000 cas et 5,000 morts. En effet, le virus de la grippe infecte chaque année 1 milliard de personnes et en tue 650,000 et la tuberculose infecte chaque année 10,4 millions et tue 1,8 million de personnes. De plus, à la TV on vous parle de « cas » alors qu’il s’agit de dépistages et non pas de cas.

Un article scientifique, SARS-CoV-2 : fear versus data (SARS-CoV-2 : peur versus données), publié dans l’International Journal of Antimicrobial Agents, a démontré que le danger du virus était surestimé et que la peur pourrait être plus dangereuse que le virus lui même.

Ils disent aux citoyens : le lavage des mains est un réflexe qu’on doit avoir tout au long de notre vie, qu’il y ait le coronavirus ou pas, car c’est la mesure d’hygiène la plus efficace. Mais préviennent que  porter un masque lorsqu’on n’est pas malade et pratiquer la distanciation sociale, ça ne fait pas partie de l’hygiène ou de la préservation de la santé publique mais c’est de la folie. Porter un masque longtemps comporte plusieurs effets indésirables pour votre santé et le transforme en nid à microbes. "Le virus peut se concentrer dans le masque et lorsque vous l'enlevez, le virus peut être transféré dans vos mains et ainsi se propager", a déclaré le Docteur Anders Tegnell, épidémiologiste. Lorsqu'on lui a demandé si les gens se mettaient plus en danger en portant des masques, le Docteur Jenny Harries a répondu : «En raison de ces problèmes de manipulation [des masques], les gens peuvent se mettre plus en danger». Même les dentistes ont récemment mis en garde contre les effets graves sur la santé bucco-dentaire car ils constatent que le port de masque de façon prolongée entraîne des maladies telles que des caries, des maladies parodontales ou une très mauvaise haleine. «Nous voyons beaucoup de gens avec plus d'inflammation, plus de caries et de maladies des gencives…Nous constatons une inflammation des gencives des gens qui sont en bonne santé depuis toujours et des caries chez des personnes qui n'en ont jamais eu auparavant… Environ 50% de nos patients sont impactés par cela», déclare le Docteur Rob Ramondi, un dentiste. «Les gens ont tendance à respirer par la bouche plutôt que par le nez lorsqu'ils portent un masque…La respiration buccale provoque la sécheresse de la bouche, ce qui entraîne une diminution de la salive. La salive est ce qui combat les bactéries et nettoie vos dents…Les patients nous disent : ‘Wow, mon haleine sent, j'ai besoin d'un nettoyage’. [Mais] quand vous avez une mauvaise haleine, soit vous avez déjà une maladie parodontale, soit vous avez beaucoup de bactéries sur votre langue à cause de la bouche sèche…Les maladies des gencives -ou les maladies parodontales- entraîneront éventuellement des accidents vasculaires cérébraux et un risque accru de crise cardiaque», explique le Docteur Marc Sclafani, un autre dentiste. De plus, beaucoup d’entre vous se plaignent de ces masques, surtout dans cette période estivale. Vous devez savoir que la bouche et le nez ne sont pas faits pour être obstrués. Ce que vous portez est un masque, en apparence mais une muselière de votre liberté, en réalité. D’autant plus que, comme le disent plusieurs experts dont le Professeur Yoram Lass, l’épidémie est terminée dans la majorité des pays et ceux qui vous disent le contraire sont des MENTEURS. En vous disant que l’épidémie n’est pas terminée, en brandissant la menace d’une 2e vague (qui ne repose sur aucune preuve), en vous demandant de porter un masque et de faire de la distanciation sociale, le but est, en fait, de prolonger la peur jusqu’à la fabrication d’un vaccin et pour qu’il soit mieux accepté par vous.

Ils alertent les compagnies aériennes : plusieurs études scientifiques ont montré un lien entre l’excès d’hygiène et le développement de maladies comme les maladies allergiques, les maladies auto-immunes, les maladies inflammatoires ou certains cancers. C’est ce que l’on appelle en médecine : l’hypothèse hygiéniste. Donc, arrêtez les opérations de désinfection et enlevez les masques ainsi que les combinaisons protectrices ridicules de vos employés qu’on a vues dans les médias. Faire cela relève de la folie. Les aéroports doivent aussi arrêter la prise de température ainsi que les quarantaines. Le SARS-CoV-2 n’est pas la peste noire. Elles aussi, comme les citoyens, ont été manipulées, mais si elles persistent dans l’application de ces mesures sanitaires impropres et nocives elles sont complices et devront rendre compte et réparer leurs fautes en tant que telles.

Les médecins et spécialistes disent aux gouvernements : levez toutes les restrictions et les obligations sur les citoyens (état d’urgence, port de masque obligatoire, distanciation sociale, etc) car elles sont stupides et purement dictatoriales et n’ont rien à voir avec la médecine ou l’hygiène ou la préservation de la santé publique. Il n’y a aucune raison scientifique ou médicale pour que des citoyens non malades portent un masque. Le Docteur Pascal Sacré, anesthésiste-réanimateur, a dit : «Obliger tout le monde à les porter tout le temps, alors que l’épidémie disparaît, est une aberration scientifique et médicale». Le Professeur Didier Raoult dit : «La décision du confinement comme la décision des masques…ne reposent pas sur des données scientifiques…». Les Docteurs Lisa Brosseau et Margaret Sietsema, expertes en protection respiratoire, disent : «Nous ne recommandons pas d'exiger du grand public qui ne présente pas de symptômes de maladie de COVID-19 de porter régulièrement des masques en tissu ou chirurgicaux car : il n'y a aucune preuve scientifique qu’ils sont efficaces pour réduire le risque de transmission du SARS-CoV-2…». Le Professeur Maël MESSAGE D’ALERTE INTERNATIONAL 8 Lemoine a précisé aussi que le changement de discours sur les masques est : «politique, pas scientifique». Dans certains pays asiatiques, les gens portent des masques toute l’année (pour se protéger, entre autres, de la pollution). Est-ce que ce port généralisé des masques dans ces pays leur a évité d’avoir des épidémies de coronavirus ? Est-ce que ce port généralisé des masques dans ces pays leur évite d’avoir chaque année des épidémies de grippe ou d’autres virus respiratoires ? La réponse est bien sûr : non. D’autre part, avec les 8 millions de tonnes de plastique qui sont déjà déversées chaque année dans les océans, les masques et les gants viennent ajouter une nouvelle menace et constituent une pollution particulièrement dangereuse pour notre santé et pour la faune. Rien qu’en Italie, si seulement 1% des masques actuellement utilisés étaient jetés dans la nature, ce sont 10 millions de masques qui finiraient chaque mois dans l’océan. De plus, les masques chirurgicaux mettent jusqu’à 450 ans à se décomposer !

Ils disent donc aux gouvernements : STOP à ces mesures illégales et dangereuses du port obligatoire du masque.

Ils disent  aux forces de l’ordre : les citoyens vous doivent beaucoup car vous êtes tous les jours les garants de leur sécurité et du respect de l’ordre et de loi. Mais, faire respecter la loi ne veux pas dire se soumettre de manière aveugle à des ordres injustes. C’est cette erreur qui a conduit à la seconde guerre mondiale et à la mort de 50 millions de personnes.

Il leur disent donc : faites respecter la loi mais pas l’injustice et la dictature, refusez d’imposer ces mesures, refusez de verbaliser vos concitoyens (lorsqu’ils ne portent pas un masque par exemple), ne les frappez pas, ne les emprisonnez pas. Ne soyez pas les instruments de la dictature. Soyez du côté des citoyens et suivez le bel exemple des policiers Américains qui ont soutenu les citoyens en s’agenouillant avec eux. Les médecins leur assurent que ces mesures n’ont rien à voir avec la médecine ou l’hygiène ou la préservation de la santé publique, c’est de la dictature et de la folie.

Tous ceux qui, en connaissance de cause, continuent à commettre ces actes qui sont des crimes car ils constituent une persécution de groupes identifiables, et des actes inhumains causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves à l’intégrité physique ou à la santé physique ou mentale et à la vie de populations entières et des individus qui les forment, engagent leur propre responsabilité face à l’humanité.

Les médecins et spécialistes nous disent :  citoyens il faut respecter la loi. Mais, ceci ne veut pas dire la soumission aveugle à la folie, à l’injustice ou à la dictature. C’est cette soumission aveugle des citoyens aux lois injustes qui a conduit à la seconde guerre mondiale avec la mort de 50 millions de personnes. Vous êtes nés libres et vous devez vivre libres, donc : n’ayez pas peur et si vous n’êtes pas malades : enlevez les masques, sortez de chez vous comme vous le souhaitez et sans distanciation sociale, mais faites-le pacifiquement et sans aucune violence. Les professeurs Carl Heneghan et Tom Jefferson, épidémiologistes avec une grande expertise dans la médecine basée sur les preuves, disent : «Il n'y a aucune preuve scientifique pour soutenir la règle désastreuse de deux mètres. Des recherches de mauvaise qualité sont utilisées pour justifier une politique aux conséquences énormes pour nous tous».

Ils demandent et nous demandons une réforme totale de l’OMS car le problème majeur de l’OMS est qu’elle est depuis plusieurs années financée à 80% par des entreprises (notamment des laboratoires pharmaceutiques) et des donateurs privés (dont une fondation très connue) et les faits s'accumulent : fausse alerte sur l’H1N1 sous l’influence des lobbies pharmaceutiques, complaisance troublante envers le glyphosate que l’OMS avait déclaré sans danger en dépit des victimes de l’herbicide, aveuglement face aux conséquences de la pollution liée aux compagnies pétrolières en Afrique, minoration des bilans humains des catastrophes nucléaires de Tchernobyl à Fukushima et des désastres de l’utilisation de munitions à uranium appauvri en Irak ou dans les Balkans, non-reconnaissance de l’Artemisia pour protéger les intérêts des entreprises pharmaceutiques malgré qu’elle a prouvé son efficacité dans le traitement du paludisme. L’indépendance de l’organisation est compromise tout à la fois par l’influence des lobbies industriels -surtout pharmaceutiques- et par les intérêts de ses États membres, en particulier : la Chine. Le président d’un pays a dit : «Je pense que l’Organisation Mondiale de la Santé devrait avoir honte parce qu’ils sont devenus les porte-paroles de la Chine». L’institution de Genève, qui avait sous estimé la menace Ebola (plus de onze mille morts) est de surcroît accusée de négligence vis-à-vis des maladies tropicales, au profit de marchés plus juteux. Une enquête réalisée en 2016 (l’OMS dans les griffes des lobbyistes)19 a livré une édifiante radiographie de l’OMS en dressant le portrait d’une structure fragilisée, soumise à de multiples conflits d’intérêts. Cette investigation a montré combien, à l’OMS, les intérêts privés dominent les enjeux de santé publique. Il n’est pas acceptable que l’argent qui la finance vienne principalement d’une seule personne et qu’elle soit infiltrée par des lobbies. Récemment, l’OMS s’est décrédibilisée encore plus en tombant dans le piège du Lancet Gate alors qu’un simple étudiant aurait découvert la fraude. À l’époque de la grippe H1N1 : le Docteur Wolfgang Wodarg, président de la commission santé de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe, a critiqué l'influence de l'industrie pharmaceutique sur les scientifiques et les fonctionnaires de l'OMS, déclarant qu'elle a conduit à la situation où "inutilement des millions de personnes en bonne santé étaient exposées au risque de vaccins mal testés" et que, pour une souche de grippe, elle était "beaucoup moins nocive" que toutes les épidémies de grippe précédentes. Il a eu totalement raison puisque, plus tard, le vaccin a fait 1,500 victimes de narcolepsie dont 80% des enfants, comme on va le voir. Il a aussi reproché à l’OMS d’avoir alimenté la crainte d’une "fausse pandémie", l’a qualifiée de "l’un des plus grands scandales médicaux de ce siècle" et a demandé l’ouverture d’une enquête. En effet, les critères pour déclarer une pandémie (comme la sévérité) ont été modifiés par l’OMS sous l’influence des lobbies pharmaceutiques afin qu’ils puissent vendre les vaccins aux pays du monde. Selon un rapport de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe sur le gestion de la grippe H1N1, y compris par l’OMS : «gaspillage de fonds publics importants et existence de peurs injustifiées relatives aux risques de santé…De graves lacunes ont été identifiées en ce qui concerne la transparence des processus de décision liés à la pandémie, ce qui soulève des préoccupations sur l’éventuelle influence que l’industrie pharmaceutique aurait pu exercer aux égards des principales décisions relatives à la pandémie. L’Assemblée craint que ce manque de transparence et de responsabilité ne fasse chuter la confiance des citoyens dans les avis des grands organismes de santé publique». L’histoire se répète aujourd’hui avec exactement les mêmes acteurs et la même compagne de peur. L’ancien secrétaire général du département de santé publique de l’OMS a révélé dans une autre enquête (TrustWHO) qu’à l’époque de H1N1, personne n’avait peur à l’OMS et qu’il ne connaît personne à l’OMS qui s’est fait vacciner, y compris l’ancienne directrice générale : la Chinoise Margaret Chan. Bien qu’il soit un haut responsable à l’OMS, il été exclu ainsi que la plupart de ses collègues d’une réunion entre la directrice générale et les entreprises pharmaceutiques fabricatrices de vaccin avec comme motif : «c’est une réunion privée»…

Tous ces actes sont des crimes car ils constituent une persécution de groupes identifiables, et des actes inhumains causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves à l’intégrité physique ou à la santé physique ou mentale et à la vie de populations entières et des individus qui les forment, tout particulièrement des enfants.

[...]

Lire la suite et signer la pétition sur Mes Opinions


- Source : Mes Opinions

Cela peut vous intéresser

Commentaires

Envoyer votre commentaire avec :



Fermé

Recherche
Vous aimez notre site ?
(230 K)
Derniers Articles
Articles les plus lus
Loading...
Loading...
Loading...