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Vendredi, 19 Avr. 2024

Le Dr Stefan Lanka démolit l'idée fausse du virus

Auteur : Makia Freeman | Editeur : Walt | Mardi, 28 Juill. 2020 - 08h59

Dans un article de 2020, le Dr Stefan Lanka révèle que nous avons une mauvaise conception du virus. Voici la vérité sur les virus et le Covid.

L'idée fausse que l’on se fait du virus est au cœur de l'opération Coronavirus, car sans le concept de théorie des germes et sans l'histoire d'horreur du virus tueur, la plupart des gens ne goberaient pas la propagande officielle des mondialistes au sujet du fameux Covid. Dans un article précédent sur la nature du virus, j'ai parlé des efforts héroïques du Dr Stefan Lanka, le virologue allemand qui a gagné en 2017 un procès historique qui est allé jusqu'à la Cour suprême allemande. Le Dr Lanka a prouvé devant la plus haute cour du pays, que la rougeole n'est pas une maladie virale ; qu’en fait, le virus de la rougeole n'existe pas. Toujours occupé à travailler, au début de cette année, le Dr Lanka a écrit l’article « L’idée fausse appelée virus », dans lequel il explique comment la science dominante a horriblement mal tourné avec ses conclusions (en réalité ses hypothèses) diabolisant l'humble virus et lui attribuant à tort une nature pathogène, bien que ce soit faux.

Idée fausse du virus : Histoire du virus tueur contre carence et toxicité

Voici ce que fait principalement ressortir le Dr Lanka tout au long de l'article : Quand les scientifiques modernes travaillent sur des tissus malades, ils pensent que des virus sont la cause de la maladie, au lieu de réaliser que l’opération de séparation et d’isolement des tissus en question de leur organisme, et leur aspersion d’antibiotiques, les rendent malade et les tuent mieux que ne le ferait un virus. Le Dr Lanka écrit :

« Toutes les histoires d’infectiosité des virus sont fausses et déduites d’interprétations erronées facilement identifiables, compréhensibles et vérifiables… Tous les scientifiques de laboratoire qui pensent travailler sur des virus, travaillent en fait sur des particules typiques de tissus ou de cellules mourants spécifiques, qui ont été préparés de façon spéciale. Ils croient que ces tissus et cellules meurent parce qu'ils ont été infectés par un virus. En réalité, les cellules et les tissus infectés meurent parce qu'ils sont affamés et intoxiqués dans les expériences de laboratoire.

« …la mort des tissus et cellules survient exactement de façon similaire, même si du matériel génétique infecté n'est pas ajouté. Les virologues n'ont apparemment pas remarqué ce fait. Si l’on se fie à la logique et aux règles de conduite scientifiques, ils auraient dû faire des expériences de contrôle. Afin de confirmer la méthode récemment découverte de la soi-disant ‘propagation virale’… les scientifiques auraient dû faire des expériences supplémentaires, des expériences de contrôle avec rajout de substances stériles dans la culture cellulaire.

« Jusqu’ici, la ‘science’ officielle n’a jamais fait d’expérience de contrôle. Lors de l'essai sur le virus de la rougeole, j'ai demandé à un laboratoire indépendant de faire l’expérience de contrôle, et la conclusion a été que les tissus et les cellules meurent à cause des manipulations de laboratoire exactement comme s’ils étaient entrés en contact avec du supposé matériel ‘infecté’ ».

En d'autres termes, avec ou sans virus, les cellules et tissus étudiés meurent exactement de la même manière ; de ce fait, le virus ne peut pas être la cause de la morbidité et de la mortalité. Fait intéressant, c'est exactement ce que disent nombre de spécialiste de santé : La maladie n’a que deux causes : carence et toxicité. Ainsi, Charlotte Gerson (qui a repris la direction de la clinique Gerson à la suite de son brillant père Max Gerson) dit cela à propos de la maladie et du cancer. Extraire des cellules ou des tissus du corps, et les couper ainsi de leur source d’énergie et de nutriments, les rendra rapidement affaiblis et carencés et le rajout d'antibiotiques est toxique ; ainsi, quand il y a déjà carence et toxicité, rien de solide ne peut prouver que le virus est la cause de la maladie. C'est le point clé de l'idée fausse du virus.

Implantée en 1858, l’idée fausse du virus s’est enracinée en 1954

Selon le Dr Lanka, l’idée fausse du virus remonte à 1858 et à la ‘théorie cellulaire’ de Rudolf Virchow. Cette théorie suppose que toute maladie et toute vie proviennent d'une seule cellule, qui d’une manière ou d’une autre est dénaturée par un virus qui l'affaiblit et se propage. Le Dr Lanka fait remarquer deux problèmes concernant cette hypothèse :

« La théorie cellulaire est née uniquement parce que Rudolf Virchow censura des découvertes cruciales sur les tissus. Les découvertes et les idées concernant la structure, la fonction et l'importance centrale des tissus dans la création de la vie, qui étaient déjà connues en 1858, réfutent complètement la théorie cellulaire et les thérapies génétiques, immunitaires et anticancéreuses qui en ont découlé plus tard.

« Les théories de l'infection ne furent mises en vigueur en tant que dogme mondial que par les politiques spécifiques et l'eugénisme du Troisième Reich. Avant 1933, des scientifiques osaient réfuter cette théorie ; après 1933, ces scientifiques critiques furent réduits au silence ».

Par ‘théories de l'infection’, le Dr Lanka entend théorie des germes, base de la médecine occidentale moderne. Le Dr Lanka décrit ensuite le changement de paradigme dans la perception du virus survenu entre 1952 et 1954 :

« Jusqu'à 1952, le virus était décrit comme un poison pathogène sous forme protéique, qui en tant qu'enzyme, induisait des dommages d'une manière inconnue, provoquait des maladies pouvant être transmissibles. Après 1953, année où le douteux ADN supposée en forme d’hélice alpha fut publiquement annoncé, la notion de virus se transforma en génotype malveillant enveloppé de protéines. C’est ainsi qu’entre 1952 et 1954, survint le changement de paradigme dans la représentation officielle du virus ».

Il parle de la façon dont la théorie devint un dogme de l'Église de la science dominante (du scientisme) :

« Cette approche foncièrement antiscientifique naquit en juin 1954, quand un article spéculatif non scientifique et réfutable raconta que la mort d'un tissu dans un tube à essai était considérée comme la preuve possible de la présence d'un virus. Six mois plus tard, le 10 décembre 1954, le principal auteur de cette opinion reçut le prix Nobel de médecine pour une autre théorie tout aussi spéculative. La spéculation de juin 1954 fut alors élevée au rang de fait scientifique et devint un dogme jamais remis en question jusqu’ici. Depuis juin 1954, la mort de tissus et de cellules dans un tube à essai, est considérée prouver la présence d’un virus ».

Revenons aux postulats de Koch : Ni isolement, ni purification

Comme je l'ai écrit dans COVID-19 Umbrella Term to Operate a Fake Pandemic: Not 1 Disease, Not 1 Cause[Fausse pandémie exploitée sous le terme générique Covid19 : Ni maladie, ni cause], aujourd'hui, les scientifiques du courant dominant sautent la très importante deuxième étape des postulats de Koch, soit l'isolement et la purification du virus. Ce n'est pas une formalité que vous pouvez tout simplement négliger ou oublier de faire, comme oublier accidentellement votre parapluie un jour de pluie. Cette étape est absolument essentielle pour déterminer s'il existe un nouveau virus et s'il cause la maladie. C'est la condition sine qua non. Si vous ne pouvez pas l'isoler, vous n'avez rien prouvé, car ce que vous pensez être un virus envahissant peut facilement être un exosome ou une particule produite par l’organisme lui-même. C'est pourquoi toute la propagande sur le Covid a commodément passé sous silence le fait qu'il n'existe pas de photo de microscopie électronique du SRAS-CoV-2, ce moyen étant devenu extrêmement important dans la démarche d'identification. Lanka continue :

« …Aucun virus n'a jamais été isolé au sens strict du mot ; jamais un virus n’a été photographié et caractérisé entité originale par sa constitution biochimique. Les micrographies électroniques de supposés virus montrent en réalité des particules de cellules plutôt normales provenant de tissus et de cellules mourants, et la plupart des autres photos ne montrent que des modélisations informatiques (des images de synthèse) ».

Quel rapport avec le Covid ?

Ainsi, pour ramener cela à la plandémie [fausse pandémie fomentée par les mondialistes, NdT] actuelle, toutes les mêmes fausses hypothèses et absence de preuves interviennent en ce qui concerne le Covid :

« Des molécules distinctes sont extraites des particules de tissus et de cellules mortes, sont prises à tort pour des parties de virus et sont théoriquement rassemblées pour former un modèle de virus… Le processus consensuel de recherche du ‘virus’ de la rougeole, au cours duquel les participants ont débattu afin de déterminer ce qui appartenait au virus et ce qui ne lui appartenait pas, a duré des décennies. Avec le nouveau coronavirus chinois de 2019 (rebaptisé entre-temps 2019-nCoV), le processus de recherche consensuel n’a duré que le temps de quelques clics de souris.

« À l’aide d’un programme et de seulement quelques clics de souris, on peut créer n'importe quel virus. On rassemble les molécules de petits brins d'acides nucléiques provenant de tissus morts et de cellules ayant une composition biochimique déterminée, puis on les arrange de la manière souhaitée afin de former un génotype plus long qui est ensuite baptisé génome complet du nouveau virus… dans ce processus de construction théorique « d'ADN viral », les séquences qui ne correspondent pas sont ‘lissées’ et les séquences manquantes sont ajoutées. C’est ainsi qu’est inventée une séquence d'ADN qui n'existe pas dans la réalité, qui n'a jamais été découverte et dont l’entité à qui elle appartient n’a jamais été décrite scientifiquement ».

C’est en gros ainsi que les scientifiques chinois, qui appliquent les mêmes théories que les scientifiques occidentaux du courant dominant, ont inventé un nouveau modèle théorique de SRAS-CoV-2 et l’ont proclamé nouveau virus à couronne, mais tout ça sans micrographies électroniques pour le confirmer vraiment.

Tout ce processus présente de très intéressants parallèles avec le thème de la supercherie spatiale, qu’il soit propagé par la NASA ou par les autres agences spatiales. Nous n'avons aucune photo susceptible de prouver l’existence des virus et nous n'avons aucune photo valide de l’ensemble (non composite) de la Terre ou des nombreux autres corps spatiaux, comme les lunes, les planètes, etc. On nous abreuve à la place d’images de synthèse et on nous dit de ne pas douter de l'autorité. Est-ce de la science ou du scientisme basé sur la foi ? Dans quelle mesure sommes-nous manipulés en ne nous montrant pas de vraies photographies bien réelles du monde qui nous entoure, qu’il soit microscopique ou macroscopique ? Je dirais que nous sommes manipulés dans une large mesure.

Danger des vaccins selon le Dr Lanka

L’incompréhension que nous avons des virus, des maladies, du système immunitaire, de la théorie du terrain et de bien d’autres choses encore, est exploitée par Big Pharma pour vendre des interventions médicales dangereuses, comme les vaccins. Voici ce que le Dr Lanka a à dire à propos du danger et de l'inefficacité des vaccins :

« Une concoction de tissus et de cellules de singes mourants, de fœtus bovins et d'antibiotiques toxiques… sert de vaccin ‘vivant’ censé contenir des virus dits ‘atténués’… cette mixture toxique, plein de protéines étrangères, d'acides nucléiques étrangers (ADN et ARN), d'antibiotiques cytotoxiques, de microbes et de spores de toutes sortes, est qualifiée de ‘vaccin vivant’. Par l’intermédiaire de la vaccination, cette soupe est injectée aux enfants principalement dans les muscles, en quantité telle que si elle était injectée dans les veines, elle serait immédiatement cause de mort assurée… Des faits vérifiables montrent la dangerosité et la négligence de ces scientifiques et politiques, qui prétendent que les vaccins sont sûrs, ont peu ou pas d'effets secondaires et protègent contre la maladie. Pas une seule de ces affirmations n'est vraie et scientifique, bien au contraire : Après analyse scientifique précise, on constate que les vaccins sont inutiles et que la littérature les concernant reconnaît qu’il n’existe aucun argument en leur faveur ».

Ultimes réflexions

Il y a belle lurette que nous sommes contaminés par la fausse conception du virus. Aussi insensée que soit l’actuelle soumission incitée par la peur, avec masque et distanciation sociale, l'opération Coronavirus est pour les uns l’occasion de se réveiller, tandis que d’autres plongent plus profondément dans l'inconscience et se tournent vers de nouveaux moyens de protection (« passez à une version de masque supérieure avec notre bouclier protecteur à filtration d'air active en attente de brevet (N95) »), certains voient le coup d'État du Coronavirus pour ce qu'il est vraiment : l’occasion de déployer toutes sortes d'architecture de contrôle pendant que les dormeurs sont paniqués. Il est toujours bon de douter des hypothèses sur lesquelles se fondent toute déclaration gouvernementale, car cela peut presque toujours ouvrir une porte conduisant à la vérité.

Adaptation en français de Petrus Lombard

 


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