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Jeudi, 28 Mars 2024

La dictature du masque sert les intérêts du vaccin

Auteur : Johan Livernette | Editeur : Walt | Mercredi, 22 Juill. 2020 - 17h19

« Le port du masque, ça ne sert à rien », avait déclaré Édouard Philippe le 13 mars dernier. « Les Français ne pourront pas acheter de masque dans les pharmacies, car ce n’est pas nécessaire si l’on n’est pas malade », avait renchéri Sibeth N’Diaye le 17 mars. Huit jours plus tard, l’ex-porte-parole du gouvernement affirmait : « Il n’y a pas besoin d’un masque quand on respecte la distance de protection vis-à-vis des autres. » Sibeth N’Diaye estimait même que le port du masque pouvait être contre-productif s’il était mal utilisé ! Avant eux, le 26 février, Olivier Véran y était allé de son commentaire : « Aujourd’hui comme demain, une personne asymptomatique qui se rend dans des lieux publics, qui se déplace dans les transports en commun, n’a pas à porter de masque… ce n’est pas nécessaire. »

Il y a quelques mois, à l’aube de la crise sanitaire, le masque était donc inutile. Ensuite, nous apprîmes qu’il était recommandé. Et désormais, il est obligatoire dans tous les lieux publics fermés.

Nul ne peut à présent se rendre dans un lieu public clos sans son masque. Pour ceux qui enfreindraient cette nouvelle règle, ce sera 135 € d’amende, ce qui fait cher le refus (ou l’oubli) !

Un marchepied pour le vaccin

La volte-face du gouvernement est donc évidente. Mais pourquoi ce virage à 180 degrés ? Déjà, la France en manquait. Il y avait pénurie de masques. Ensuite, cette soudaine obligation représente une étape supplémentaire, un coup de pression non négligeable, un marchepied pour le vaccin.

Porté par l’ensemble de la population alors qu’il n’y a plus d’épidémie [1], le masque fait l’effet d’une muselière. Il donne cette impression d’oppression, participe à cet asservissement, cette soumission de la population. Il génère de l’hypoxie. Symboliquement, le port du masque vise à faire taire la contestation populaire.

Programmée depuis on ne sait quelle réunion occulte, une seconde vague a été annoncée par Jacques Attali et consort. Elle sera tout aussi artificielle que la première. Les médias subventionnés l’ont amenée sur un plateau ; à grands coups de culpabilisation, de graphiques douteux, de chiffres hasardeux et de propagande anxiogène nous faisant croire que ce virus n’a jamais disparu.

Depuis le début de cette crise, tout converge vers la vaccination. Car ce qui est testé aujourd’hui avec le masque s’appliquera demain avec le vaccin. En gros, mieux vaut être masqué que confiné et pour en finir avec cette crise, faites-vous vacciner. Tel est le message envoyé à la France asservie.

À la télévision, les reportages et autres mises en garde sur la dangerosité du coronavirus furent aussi efficaces que les messages de « sensibilisation » passant en boucle dans les centres commerciaux.

La peur est la clé de ce processus qui doit nous amener à la vaccination de masse. Jacques Attali a d’ailleurs parlé d’une « peur structurante », pour faire avancer l’agenda mondialiste. Cette peur généralisée doit cesser, en s’informant autrement, en tournant définitivement le dos aux médias mainstream. Tant que la population sera apeurée, elle sera facile à manipuler et à opprimer.

Pourtant, à contre-courant de la propagande d’État, l’IHU de Marseille [2] a affirmé qu’il n’y avait pas de reprise épidémique, qu’il fallait être vigilant et non inquiet.

Nous pataugeons donc en plein mensonge, en plein délire, à cause de cette manipulation d’envergure internationale. Un simple virus -pas plus dangereux que les autres- fait prendre des mesures liberticides complètement déraisonnables et absurdes à des gouvernements aux ordres des cartels (bancaire, pharmaceutique…). Il met à mal toute une économie, de nombreux secteurs d’activité.

L’instrumentalisation de ce virus prend de telles proportions que le pire est à redouter. Sur le plan social, sécuritaire et économique. L’avenir des nations est sombre. Il est guidé par des intérêts privés et un messianisme antéchristique qui, ignoré du grand public, ne peut mener qu’à l’autodestruction.

Notes:

[1] Y en a-t-il eu véritablement une en France ?

[2] Cette source d’informations est à l’évidence plus crédible que les médias subventionnés par l’État


- Source : Johan Livernette

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