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Nouvel Ordre Mondial – Guide pour sortir du marécage idéologique

Auteur : Claudio Fabian Guevara | Editeur : Walt | Mardi, 14 Juill. 2020 - 14h18

Avec la « nouvelle normalité », les postulats du Nouvel Ordre Mondial deviennent visibles. Face à un État totalitaire, la société assiste à un renversement des rôles : les secteurs « réactionnaires » défendent les libertés constitutionnelles, et les secteurs « progressistes » embrassent l’État policier. Des clés pour comprendre la Babel idéologique d’aujourd’hui.

Enfin, les postulats du Nouvel Ordre Mondial s’expriment et deviennent visibles. Des millions de personnes sur la planète subissent les effets d’un programme politique annoncé de longue date.

Le phénomène planétaire du Covid-19 a conduit à la subordination consensuelle d’une écrasante majorité de citoyens. Sans que la population ne s’en aperçoive, un régime politique de contrôle centralisé a été mis en place :

  • Le confinement forcé ou la restriction de mobilité devient un recours fréquent et/ou routinier.
  • Les permis de circulation sont normalisés et d’autres restrictions des droits sont justifiées. Les gouvernements s’arrogent des super-pouvoirs.
  • La santé devient une religion d’État. Le dogme, monopolisé par un « comité d’experts » anonyme, devient la seule pensée faisant autorité.
  • Une terrifiante cyber-surveillance des citoyens est déployée et la censure des plateformes Internet s’accroît.

Dans ce panorama, la société est déconcertée par une soudaine inversion des rôles : les secteurs « réactionnaires » défendent les anciennes libertés constitutionnelles, et les secteurs « progressistes » embrassent l’État policier émergent. Le nouveau scénario est si déconcertant qu’il est devenu un casse-tête pour l’ancien système de division des opinions.

Pourquoi cette Babel idéologique ne répond-elle pas à la division classique entre la gauche et la droite ?

Qu’est-ce que le Nouvel Ordre Mondial ?

Le Nouvel Ordre Mondial (NOM) est un programme politique qui a été annoncé pendant des années par des fuites, des déclarations explicites et des gestes symboliques de ses référents publics. Il se déploie maintenant sous nos yeux à travers la multitude de lois, de dispositions spéciales et de mesures d’urgence qui établissent la « nouvelle normalité ».

Le NOM, une réingénierie du monde conduite par une élite de pouvoirs supranationaux – un État Profond supranational -, propose la mise en place d’un gouvernement mondial et une refonte profonde du mode de vie des êtres humains sur la planète.

Ce pouvoir dans l’ombre a été consolidé après l’attaque des Tours Jumelles en 2001, et a accéléré sa capacité opérationnelle avec la maturation des technologies de contrôle social : réseaux sociaux et autres outils de connaissance intime des personnes.

Le Nouvel Ordre Mondial a accéléré sa marche avec l’attaque des Tours Jumelles en 2001. Aujourd’hui, 20 ans plus tard, un nouveau tour de vis

Cette association de pouvoirs cachés est largement documentée par les travaux d’auteurs tels que Peter Dale Scott, Thierry Meyssan, Daniel Estulin, David Icke, Ronald Thomas West et bien d’autres. La reconnaissance formelle du concept de gouvernement mondial est venue en 2010 de Fidel Castro, qui a consacré trois chapitres de ses « Réflexions » à la révision des thèses d’Estulin.

Le Nouvel Ordre Mondial est une réponse organisée des ploutocraties planétaires à l’effondrement du système capitaliste mondial et à la crise de la croissance illimitée. Elle propose de redessiner le monde par un processus de destruction contrôlée des États-nations et des structures sociales traditionnelles, pour les remplacer par un nouveau paradigme technocratique : une dystopie haute-technologie, avec un contrôle total et centralisé des individus, où l’IA et les robots jouent un rôle toujours plus important.

Éléments du Nouvel Ordre Mondial

Le programme du NOM prévoit l’affaiblissement des États-nations pour les remplacer par des formes supranationales de gouvernance, un contrôle totalitaire de la vie des gens et un processus massif de réduction de la population. C’est la conception d’une société hyper-industrielle, électronique et cybernétique, où la technologie est centrale. Elle tend donc à séparer les personnes des processus naturels (reproduction, relations intersexes, guérison spontanée) et traditionnels (éducation au sein d’un noyau familial, travail productif, enracinement dans la terre et dans la culture d’origine) pour les remplacer par de nouvelles formes de relations au travers de processus technologiques contrôlés de manière centralisée (Internet, téléphones portables, plateformes et réseaux).

Ces prémisses idéologiques se ramifient en initiatives juridiques, en tendances d’actualité et en impositions de fait qui façonnent subrepticement le débat public, les usages et les coutumes et la perception même des gens.

Le NOM doit éroder les formes de socialité traditionnelles, qui sont un point de contrôle de la refonte sociale promue. À cette fin, elle crée des événements catalytiques artificiels et encourage les batailles discursives pour approfondir les différences, démolir les anciennes structures sociales et confronter les citoyens à leurs concitoyens dans un scénario de « guerre hybride » généralisée.

Quels sont les éléments centraux du Nouvel Ordre Mondial ?

Voici cinq axes idéologiques du NOM qui ont été largement déployés. Ce ne sont ni des théories ni des spéculations : il s’agit de mouvements convergents et complémentaires vers un nouvel ordre politico-anthropologique du monde, qui se manifestent par la multitude de changements que la « nouvelle normalité » introduit dans la vie quotidienne. Dans le même temps, des voix s’élèvent pour réclamer la constitution d’un gouvernement mondial pour faire face à cette crise avec des « pouvoirs exécutifs ».

1. Instauration de l’État policier

Le NOM a utilisé la démolition contrôlée des Tours Jumelles à New York pour commencer à établir l’État policier. Cela a marqué le début de la suspension des garanties constitutionnelles, le début de l’espionnage systématique des courriels et des conversations téléphoniques et des mesures de sécurité extrêmes dans les aéroports. Tout était justifié au nom de la « sécurité nationale ». Le Covid-19 est la nouvelle couverture idéologique pour approfondir le concept sous le prétexte de « soins de santé ». La cyber-vigilance, les applications de surveillance des patients et de leurs « contacts », les quarantaines et l’isolement forcé se multiplient au nom de la « nouvelle normalité ». C’est une conception policière de la santé. Son exemple le plus évident est la Loi HR 6666 (COVID-19 Testing, Reaching, And Contacting Everyone (TRACE) Act) aux États-Unis qui permet à l’État d’effectuer un contrôle permanent de la santé de chaque citoyen, un suivi des contacts auxquels il a été exposé et de décider des quarantaines et des isolements, des analyses obligatoires et une quantité folle de mesures de « contrôle ». De son côté, le Ministère de la Santé du Royaume-Uni vient de publier son protocole pour la gestion des « personnes infectieuses » qui prévoit l’usage arbitraire de la force publique.

La conception policière de la santé est déployée dans les projets de passeports sanitaires, de vaccination forcée, de masques obligatoires et de contrôle de la température corporelle et d’autres données biologiques. Dans le même sens, on trouve les projets législatifs visant à interdire les réunions, la notion de « distanciation sociale » et toutes les perspectives « isolationnistes » comme mesures préventives contre la « contagion ».

Derrière ces concepts se cache l’idée que chaque personne est en soi un danger pour les autres :

Anuja Sonalker, PDG de Steer Tech, une entreprise qui vend des technologies de stationnement, a récemment résumé le nouveau discours sur la « santé » : « La tendance est à la technologie sans contact avec l’homme. Les êtres humains présentent un danger biologique, pas les machines ».

L’État policier se manifeste également dans les restrictions à la libre circulation (qui rendent nécessaires des « permis de circulation »), dans l’interdiction et/ou la réglementation de la jouissance des plages, rivières et autres espaces publics, et dans le confinement progressif dans le monde numérique.

2. Transhumanisme, intelligence artificielle, 5G et prison numérique

Un aspect essentiel du NOM est l’enfermement croissant des personnes dans une réalité virtuelle, où des réseaux d’intelligence artificielle joueront le rôle de fournisseurs de biens, de juges, de policiers, de banquiers, de salles de classe et de salles de divertissement.

Il s’agit d’un avenir où presque tout est livré à domicile, soit virtuellement par des technologies de transmission, soit physiquement par un véhicule sans conducteur ou un avion sans pilote. C’est un monde qui emploie beaucoup moins d’enseignants, de médecins et de chauffeurs. Il n’accepte pas d’argent liquide, presque pas de transports publics, et encore moins de manifestations culturelles et artistiques en direct. Chaque mouvement, achat, commentaire de réseau social et relation peut être tracé. La prison numérique est un statut central de la nouvelle normalité. L’un des principaux laboratoires de ce projet est l’État de New York, qui a chargé Eric Schmidt, le PDG de Google, d’entreprendre un projet visant à intégrer la technologie dans tous les aspects de la vie civique. Au cœur de cette vision se trouve l’intégration du gouvernement avec les géants de la technologie : les fonctions essentielles des écoles publiques, des hôpitaux, des cabinets médicaux, de la police et de l’armée, sont externalisées à un coût élevé à des sociétés technologiques privées.

Cette « dystopie haute technologie » comprend la création d’une société sans argent liquide, une autre étape vers le contrôle total des individus, et est calquée sur le système chinois de crédit social, qui, grâce à la vidéosurveillance étendue et à la reconnaissance faciale, punit ou récompense le comportement des citoyens avec un système de points.

L’intégration de tous ces éléments dans un système de contrôle unifié permet d’imaginer un monde de « peines automatiques » pour les « contrevenants ». C’est ainsi que Robert F. Kennedy résume la situation :

« Supposons que les ordinateurs découvrent votre voyage à la plage en retraçant vos mouvements grâce au flux d’informations provenant de votre téléphone portable, de votre voiture, de votre GPS, de la technologie de reconnaissance faciale intégrée à la surveillance en temps réel par les satellites, les caméras montées et les puces implantées. Les robots informatiques vous informeront de votre infraction par SMS, tout en vous imposant automatiquement une amende en retirant 1 000 dollars de votre compte numérique.

Un élément central de ce déploiement de technologies de contrôle est le réseau 5G, qui est bien plus qu’un réseau de télécommunications : c’est un système militaire de surveillance et de contrôle de masse. Le réseau 5G est également vital pour le projet de l’Internet des Objets (IoT), qui implique l’intégration de tous les types d’appareils dans le réseau, et pour tous les implants technologiques qui permettront au corps humain de s’interfacer avec les réseaux technologiques. C’est le projet du transhumanisme.

3. Réduction du taux de natalité et dépeuplement de la planète

La réduction de la population mondiale est un autre axe central du programme politique du NOM. Un ensemble d’arguments eugéniques et de déclarations publiques sont complétés par des politiques publiques et privées qui accélèrent la mort de nombreuses personnes, font baisser le taux de natalité et soustraient l’homme à la reproduction naturelle.

  • La stratégie employée dans la crise du Covid-19 génère une hausse de la mortalité à court et long terme pour les secteurs les plus vulnérables. La paralysie de la production génère partout un chômage massif, la faim et la maladie. De plus, elle stimule la peur du contact et de la proximité avec les autres, une attitude propice à l’érosion de l’empathie et des réseaux affectifs, source naturelle d’amour conjugal, familial et communautaire. L’idéologie de la « distanciation sociale » génère la mort précoce de nombreuses personnes âgées et a un impact fatal sur la psychologie des enfants, des adolescents et des adultes.

  • Un processus d’asexualisation de la population est en cours, avec la promotion du sexe virtuel et de la masturbation comme « pratiques sûres », l’introduction de « l’idéologie du genre » dans les écoles et des débats juridiques sur le caractère optionnel ou biologique de l’identité sexuelle. Une énorme quantité de matériel de divertissement et de vulgarisation vise à promouvoir les stéréotypes de comportement sexuel en dehors des objectifs de reproduction.
  • En même temps, il existe un courant qui favorise l’hypersexualisation des enfants, et plusieurs mouvements convergents qui tendent à ouvrir le débat sur la légalisation de la pédophilie. Parmi eux, le groupe MAP (Minor Attracted Person), milite pour que l’Organisation Mondiale de la Santé retire la pédophilie de sa liste des troubles mentaux. Il existe des projets de loi sur l’enfance qui introduisent la notion « d’autonomie de décision » des enfants et des adolescents, ce qui semble ouvrir la porte à un changement de paradigme.
  • Le « Mouvement Vert », en faveur de lois légalisant l’avortement, est une autre pièce de cette stratégie. Ce n’est pas un hasard si cet agenda est promu dans les médias par des agences et des fondations mondialistes.

À travers cet ensemble de lignes discursives, le NOM propose moins de relations affectives, moins de sexe reproductif, moins de grossesses et moins de naissances.

4. La guerre hybride et la démolition des États-nations

Le NOM doit éroder le concept d’État-nation et les identités culturelles liées à un territoire : la notion de « patrie ». C’est pourquoi il a développé au cours des dernières décennies des stratégies très efficaces pour détruire les sociétés par le biais de « guerres hybrides » qui déclenchent des confrontations internes autodestructrices. La guerre hybride combine forces régulières et acteurs non étatiques, cyber-attaques, missions d’espionnage et de propagande, campagnes de déstabilisation et autres outils pour créer le chaos, encourager la haine contre les autres, diviser une région en parties irréconciliables et promouvoir des soulèvements violents contre les institutions et les autorités locales. Depuis l’invasion de la Yougoslavie par l’OTAN dans les années 1990, des pays entiers ont implosé en raison de l’application de ces techniques de manipulation sociale à grande échelle : Des révolutions colorées, des guerres civiles et des émeutes ont été provoquées par des événements catalytiques scientifiquement organisés.

Le NOM promeut la division du monde en deux parties : le « noyau », qui bénéficie des avantages du système : commerce, communications, transports et transactions monétaires fluides ; et la zone « non intégrée », découplée du système, qui vit dans un chaos où la population est incapable d’organiser son développement collectif et ne pense qu’à survivre. L’objectif fondamental est de « détruire les États, écraser les peuples et détruire les sociétés », déclare Thierry Meyssan.

Dans la même veine, le NOM pratique une promotion du séparatisme nationaliste et des autonomies indigènes. Par exemple, le Zapatisme au Mexique est un projet qui trouve ses racines dans le financement mondialiste, et son obéissance politique aux grandes lignes du NOM semble le confirmer. Dans la même logique, on peut analyser les projets de « réserves naturelles protégées » entre les mains de millionnaires ou de fondations qui insinuent leur indépendance juridique par rapport aux États-nations qui les contiennent.

Tout mouvement qui contribue à démembrer les États-nations est fonctionnel au projet de laisser le monde à la merci des méga-corporations, sans contrepoids factuel important.

La nouvelle carte du Pentagone prévoit la division du monde en deux parties.

5. Concentration de la production et de la distribution des biens et des services

Dans le monde projeté par le NOM, les petites et moyennes entreprises n’ont pas leur place. C’est une économie de méga-corporations au-dessus des États-nations, régnant au niveau planétaire avec des millions d’utilisateurs, de franchisés et d’associés accrochés à leurs réseaux : ils achètent, vendent ou travaillent en indépendant. Uber, Facebook, Google, Amazon, Airbnb en sont quelques exemples.

Toutes les réglementations du Covid-19 qui entravent la production et la rentabilité des petites et moyennes entreprises (catégorie des « non essentielles », obligation de suspendre l’activité si des cas sont détectés, réglementation de la distance qui réduit la capacité des locaux, etc. Avec quels objectifs ?

D’une part, le NOM favorise la disparition progressive des réseaux communautaires locaux de production et d’échange, au profit de grands systèmes de production et de distribution planétaire contrôlés via Internet. En témoigne le fait que de grandes surfaces comme Walmart et Costco sont restées ouvertes pendant la crise du Covid-19, mais que des milliers de petits magasins et boutiques ont été contraints de fermer.

Dans le même temps, les réglementations « sanitaires » tendent à promouvoir un modèle de production basé sur des machines plutôt que sur des personnes, considérées comme « biologiquement dangereuses ». Seules les grandes entreprises sont capables de mécaniser la plupart de leurs processus. Ce modèle implique donc l’échec concurrentiel de millions de petites entreprises dans le monde, dont le segment de marché sera facilement englouti par les grands réseaux de vente et de distribution via Internet.

L’économie du NOM est basée sur la robotisation massive de la production et des services, et sur l’utilisation croissante de l’Intelligence Artificielle dans tous les processus. Ce processus conduira à la disparition de millions d’emplois dans un avenir immédiat. Il existe déjà, fonctionnant sans personnel humain, des expériences de restaurants et d’hôtels, l’activité humaine qui jusqu’à présent générait le plus d’emplois.

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Dans le « Sixième Tecnoparadigme » – comme l’appelle Estulin – il y a un chômage massif. Ce que le NOM prévoit, c’est le rôle de l’État dans la distribution de « l’aide universelle », ou « rationnement » comme l’appelle Icke. Les programmes « d’aide sociale », la distribution de bons et les propositions de RBU (Revenu de Base Universel) sont un aperçu de cette tendance.

Une économie de machines, avec presque pas d’emplois pour les gens ; une dépendance totale de l’aide publique ; le compte bancaire où l’on reçoit le RBU, associé à une carte d’identité numérique, un certificat de vaccination et d’autres formes de bureaucratie coercitive : voilà le projet de contrôle total des citoyens que le NOM encourage.

Conclusions : Un menu idéologique très persuasif

Le « menu idéologique » du NOM est adapté à la poignée de milliardaires qui dirigent le monde. Mais elle est ancrée dans la psyché profonde de nombreux mouvements « progressistes/gauche/socialistes » et elle crée des courants d’opinion transversaux basés sur des idées communes. C’est ainsi que sont fabriquées des matrices de pensée qui pénètrent par inadvertance dans toutes les instances sociales. Ce processus a désorienté le public, qui s’est enfoncé dans un marécage idéologique d’incompréhension mutuelle.

  • Sur l’idée de bon sens selon laquelle « davantage de technologie est toujours mieux« , la justification d’une conception du monde où les machines déplacent les hommes est evoquée, et un modèle de contrôle « technico-scientifique » est poussé à son paroxysme.
  • Sur l’imaginaire de l’État comme « responsable de la protection » des personnes, se construit la conception policière de la santé qui justifie l’enfermement, le contrôle de la mobilité des personnes et l’idéologie de la distanciation sociale.
  • Sur les bases de la « vaccination générale » comme conquête des « gouvernements populaires » sont construits les arguments pour de nouveaux programmes de vaccination obligatoire avec un programme de contrôle, de stérilisation forcée et/ou d’affaiblissement biologique.
  • Sur la base des slogans traditionnels de « tolérance de la différence », on déploie une propagande et des débats juridiques qui tendent à asexualiser/hypersexualiser la population, ainsi que la promotion de formes de sexualité éloignées de la reproduction.
  • Sur les revendications des minorités (indigènes dépossédés, minorités raciales opprimées, femmes maltraitées) se construit l’imaginaire sécessionniste qui déchire les États-nations, les affrontements mortels entre groupes « racialement différents » et la guerre entre hommes et femmes avec le discours de la « violence de genre » en toile de fond.

La conception du NOM n’est pas ancrée dans un État particulier : dans chaque pays ou région du monde, il est possible de trouver des groupes de « mondialistes » et de « patriotes ».

Les GLOBALISTES, ceux qui propagent le NOM, sont généralement des médias (de droite et de gauche), des collectifs « progressistes et de gauche », des fonctionnaires et des partis politiques au pouvoir dans la plupart des régions du monde.

LES PATRIOTES, ceux qui luttent contre le NOM, sont des secteurs qui embrassent une idéologie de résistance, de défense des valeurs traditionnelles : les « conservateurs » ecclésiastiques, militaires, scientifiques, libertaires et indépendants.

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Traduit par Réseau International


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