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George Floyd ne serait pas mort étouffé par le flic par Paul Craig Roberts

Auteur : Paul Craig Roberts | Editeur : Walt | Mardi, 23 Juin 2020 - 06h49

George Floyd n'a pas été tué par la police. Selon le rapport toxicologique, Floyd a succombé à une concentration de fentanyl dans son sang, trois fois la dose mortelle. Le fentanyl est un opiacé dangereux, 50 fois plus actif que l'héroïne. Voici un extrait de cet article, qui comporte un lien sur le rapport de l'autopsie :

« La vérité est la première victime de la politique. Dissensions et passions sont la règle. Les faits sont choisis au hasard pour servir d’arme ; personne ne pense à toutes ces choses.
« Nous devons comprendre les faits entourant la mort de George Floyd.
« Nombre de faits majeurs ne sont pas pris en compte :

  • Les tests sanguins de Floyd montrent une concentration de fentanyl d'environ trois fois la dose mortelle.

  • Le fentanyl est un opiacé dangereux, 50 fois plus actif que l'héroïne. Il est vite devenu la plus fréquente cause de décès chez les toxicomanes.

  • La prise avec le genou sur le cou, dont se sert la police, n'est pas une technique d'étranglement, elle ne bloque pas la respiration. C’est une contrainte au corps, et il n'est pas connu qu'elle ait un jour occasionné des lésions mortelles.

  • Floyd avait déjà commencé à se plaindre, « Je ne peux pas respirer, » quelques minutes avant l’application de la prise, pendant qu’il résistait aux agents qui tentaient de le faire monter dans la bétaillère. Le fentanyl affecte la respiration ; il entraîne la mort par arrêt respiratoire.

  • Parce que Floyd résistait à son arrestation, il était normal de le maîtriser. Il était probablement sous l’emprise d’un délire actif, une crise d’agitation violente provoquée par une overdose. En général brève, ce genre de crise aboutit à la mort par arrêt cardiorespiratoire.

  • L'autopsie officielle indique effectivement que l’arrêt cardiorespiratoire est la cause du décès, et que les blessures qu'il avait subies lors de l'arrestation n'étaient pas mortelles.

  • Les vidéos de l'arrestation ne montrent pas la police tabasser Floyd, mais qu’il est simplement maintenu calmement au sol.

  • Dans une vidéo, pendant son maintien au sol, on entend Floyd crier et maugréer fortement de façon incohérente ; il semble que ce soit une expression de la phase violente du délire actif. Sa capacité à résister à quatre agents qui tentaient de le pousser dans le panier à salade, est typique dans les cas de délire actif. Les courts sursauts de force surhumaine, sont des symptômes classiques du délire actif ».

Pensez à ceci un instant : Que devient une société où les faits n'ont plus d'importance ? Aux États-Unis, la presse, le Parti démocrate, les libéraux blancs et les minables désolées à l’égard de la gauche, étaient si bien préparés au ‘racisme blanc’, qu'ils ont sauté des quatre fers sur la conclusion souhaitée, et incité les émeutes et les pillages qui ont occasionné d’énormes dégâts matériels dans de multiples villes, quelques morts, des flopées de blessés et quantité d’atteintes aux relations interethniques. Les maires et gouverneurs démocrates ont laissé faire. La police et la Garde nationale, qui tentaient de contenir les émeutiers, n'ont pas été épaulées. Même le président des chefs d'état-major interarmées et le secrétaire à la Défense de Trump, se sont accommodés des émeutes et des pillages, en sapant ainsi l’attitude opposée du président Trump. Bien des gens ont vu leur entreprise partir en fumée, et dans la plupart des cas, les assurances ne couvrent pas les dégâts faits durant les émeutes. Les politicards et la presse sont responsables de ces ‘manifestations pacifiques’ coûtant des milliards de dollars. Ceux qui ont subi les préjudices devront intenter des recours collectifs en justice.

Quand la police du Minnesota, accusée à tort de l’assassinat de George Floyd, sera jugée, les jurés auront peur de ne pas la condamner. L'issue de l’affaire est gravée dans le marbre, car trop d'intérêts puissants sont engagés à la faire respecter. La police a déjà été jugée et condamnée par la presse, et les jurés craindront de s’opposer à l'opinion publique, instrumentalisée par la presse et les libéraux blancs. L'impact sur le moral et l’engagement de la police sera dévastateur. La police baisse déjà les bras devant la délinquance des ‘personnes de couleur’. Les Noirs apprennent qu’ils son immunisés contre la répression de leurs agissements agressifs. Pour les éléments criminels, les protestations ne sont qu’opportunité à se remplir les poches. Attendez-vous à d’autres ‘manifestations pacifiques’.

Les incroyables abus qu’imposa au Sud vaincu la Reconstruction [qui suivit la Guerre de Sécession], ont empoisonné les relations entre Blancs et Noirs. En 1900, des politiciens du Sud, comme James K. Vardaman du Mississippi, qui voulaient arracher leur pouvoir à la Finance et à l'aristocratie du Sud, cultivaient au sein des Blancs pauvres, la haine ethnique contre les Noirs, et instrumentaient les élections pour battre les dirigeants du Sud, comme Le Roy Percy, qui œuvrait en faveur de l'harmonie interethnique.

Ce mouvement s’est inversé à notre époque. Désormais, les libéraux blancs attisent chez les Noirs la haine ethnique contre les Blancs. Les libéraux blancs ont inventé une histoire bidon, symbolisée par le projet 1619 du New York Times, une histoire racontant que les États-Unis se sont édifiés sur le racisme blanc. Cette calembredaine est désormais institutionnalisée dans le système d’éducation et la presse, ce qui veut dire que la fracture entre Blancs et Noirs ne peut que s'aggraver.

La politique identitaire, idéologie officielle du Parti démocrate et de ce qui passe pour la gauche, divise les gens. Les Étasuniens forment des groupes hostiles répartis par ethnies, sexes et préférences sexuelles. Ni les démocrates, ni la gauche ne représentent plus la classe ouvrière, qui est maintenant décrite comme l'ennemi – « les déplorables de Trump. » En divisant les gens, les apparatchiks du système ont rendu impossible toute opposition efficace. Comme la désunion sert leurs intérêts, ils veilleront à ce qu'elle se perpétue. Il faut s’attendre à ce que les apparatchiks entretiennent toujours plus l'animosité interethnique.

Pouvons-nous espérer que des éléments responsables de la population noire s’avanceront et s'uniront à leurs homologues blancs pour créer l'amitié interethnique nécessaire à toute société multiculturelle ? Tout Noir qui tenterait de faire preuve de ce genre d’autorité, serait traité d’« oncle Tom » au service du racisme blanc, et rejeté.

Les faits ne compte plus aux États-Unis et dans le monde occidental. Le factuel qui ne satisfait pas les émotions de ceux qui sont conscients de l’injustice du système social dans lequel ils vivent, est rejeté parce qu’accusé de racisme, sexisme ou de toute autre tare. En d'autres termes, aux États-Unis, la vérité a perdu son autorité. La vérité ne permet plus de combattre les idéologies destructrices. Vous pouvez le vérifier vous-même. Essayez de convaincre CNN, New York Times, NPR, un professeur libéral blanc, un membre des Antifas ou un manifestant noir, que George Floyd a succombé à une overdose d’opiacé dangereux. Ils rejetteront le rapport de toxicologique, diront qu’il s’agit d’une tentative de dissimulation de la violence raciste de la police contre les Noirs, et ils vous écarteront en vous traitant de suprémaciste blanc raciste.

Le cinéma du racisme des États-Unis est calculé pour susciter la colère des Noirs et la culpabilité des Blancs. Pendant que l'hostilité des Noirs est attisée et que la confiance des Blancs s’évanouit, la société se délite.

Comme je l'ai déjà écrit, les États-Unis, et le monde occidental entier, vivent Le Camp des Saints.

Adaptation en français de Petrus Lombard


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