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COVID-19/ Un grand scientifique américain dénonce les mensonges de Moderna, le labo financé par Bill Gates

Auteur : Michèle Marie | Editeur : Walt | Dimanche, 24 Mai 2020 - 07h56

Avant-hier, le Dr William Haseltine, l’un des plus grands scientifiques américains, a sèchement remis en question les affirmations mensongères de Moderna, qui prétendait avoir progressé dans le développement d’un vaccin contre le COVID-19.

Il s’est également montré très critique envers le Dr. Fauci, le directeur du NHI [Institut national des allergies et des maladies infectieuses], pour avoir faussement qualifié les résultats d’encourageants.

Le Dr Haseltine, ancien professeur de la Harvard Medical School, réputé pour ses travaux révolutionnaires sur le VIH et le génome humain, a déclaré que le gouvernement ne devrait pas compter sur la mise au point prochaine d’un vaccin efficace contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19). S’il n’était pas exclu qu’un vaccin contre le COVID-19 soit trouvé un jour, il ne fallait pas pour autant trop miser là-dessus.

Les déclarations d’Haseltine surviennent après que Moderna ait annoncé lundi que leur vaccin contre le COVID-19, le premier sur le marché américain, semblait générer des réponses immunitaires favorables chez les sujets de la phase 1 de l’essai.

Invité de CNN jeudi, Haseltine s’est montré très critique vis-à-vis du communiqué de presse de Moderna, qui tenait plus d’un slogan publicitaire que d’un bulletin scientifique, et a d’ailleurs fait s’envoler la valeur des actions de la société, qui a atteint la barre des 29 milliards de dollars.

Il a également exprimé en termes à peine voilés sa déception par  rapport au Dr Anthony Fauci, qui cumule les fonctions de directeur du NHI et de chef de l’équipe anti-COVID 19 de la Maison Blanche, pour avoir qualifié les résultats de Moderna d'”encourageants”.   “Il est évidemment soumis à une énorme pression pour obtenir des résultats probants, mais ce n’était pas la bonne chose à faire que d’avaliser des déclarations non assorties de données scientifiques”, a-t-il dit.

Le Dr. Anthony Fauci est un grand ami de Bill Gates, le pseudo-philanthrope et fournisseur mondial de vaccins. Selon des révélations accablantes faites par Dr. Judy Miskovits, l’agence gouvernementale dans laquelle travaille Fauci, le NIH, se fait rémunérer par les laboratoires pharmaceutiques, qui lui attribuent 50% du produit de la vente de leurs vaccins. C’est le NIH qui fait la pluie et le beau temps en matière de vaccination.

Le NIH, lui-même une agence du ministère de la santé et des services sociaux, avait accéléré la recherche d’un vaccin contre le COVID-19, en partenariat, entre autres, avec la société de biotechnologie Moderna, financée par la Fondation Bill et Melinda Gates. Selon l’Organisation mondiale de la santé, plus de 100 vaccins étaient en cours de développement dans le monde à la date du 30 avril, et au moins huit vaccins pré-sélectionnés font déjà l’objet d’essais sur l’homme.

Or voici que sur fond d’Obamagate la semaine dernière, le même Dr. Fauci qui s’était toujours montré favorable à la vaccination, et pour cause, faisait une volte-face spectaculaire sur l’efficacité d’un vaccin contre le virus. Dans une déposition à une Commission du Sénat américain chargée d’enquêter sur la gestion de la crise sanitaire par la Maison Blanche, il avait affirmé qu’un futur vaccin ne serait pas nécessairement efficace et qu’il était même susceptible d’intensifier la virulence du virus.

Il lançait aussi un sombre avertissement sur le fait que la réouverture du pays serait la cause d’une nouvelle flambée épidémique, avec à la clef une augmentation du nombre des victimes et serait également nuisible à  l’économie elle-même. voir ici, min 0:19-43

Ce virage en épingle à cheveux dissimulait mal une volonté de doubler le président Trump, qui avait récemment annoncé la production en mode accéléré de 300 million de doses de vaccin d’ici la fin de l’année. Cette annonce, qui lui avait été reprochée comme etant irréaliste, visait en fait à couper court aux messages apocalyptiques de Bill Gates, selon lesquels la vie ne reprendrait son cours normal que lorsque la planète entière aurait été vaccinée, c’est à dire vraisemblablement après les élections américaines de novembre 2020.

Or, l’économie a toujours été la carte maîtresse dans le jeu de Donald Trump qui, après avoir mis le paquet pour tenter de juguler l’épidémie et maintenir le pays à flot à coup de trillions de dollars, voyait d’un mauvais oeil le combat acharné de la gauche mondialiste pour lui voler sa réélection.

M. Trump avait donc expliqué que le vaccin qui était en train d’être développé pourrait ou pas s’avérer efficace, en fonction des systèmes immunitaires individuels. Mais les vaccins seraient en tout cas prêts, pour faire face à toute éventualité.

Et, plus important encore, avait-il averti, l’économie rouvrirait, “avec ou sans vaccins”.

Cette dernière annonce avait enragé les démocrates et suscité  une pleurniche sans fin sur les plateaux de CNN. Les vaccins, du coup, devenaient suspects à leurs yeux. Maintenant, disaient-ils tous en coeur, les vaccins n’étaient pas sûrs et la seule façon d’assurer la sécurité des Américains était de prolonger leur confinement. Le CDC [Center for Disease Control] prévoyait même 100.000 morts d’ici le 1er juin si l’on déverrouillait l’économie.

Selon le mot d’Eric Trump, fils du président, dans une interview sur la Fox News: “Après le 3 novembre, le coronavirus disparaîtra comme par enchantement et l’économie pourra reprendre comme si de rien n’était”.

***

Alors que le vaccin COVID-19 de Moderna arrive en tête, la promotion récente de « vaccins à modification génétique » par son médecin en chef est mise en lumière

De plus en plus souvent, des fonctionnaires, des experts politiques et des « experts en santé mondiale » autoproclamés comme le milliardaire Bill Gates disent au public que les rassemblements de masse et tout semblant de « normalité » ne reviendront pas avant qu’un vaccin contre le nouveau coronavirus Covid-19 soit créé et ensuite distribué aux populations. Au cours des dernières semaines, il est rapidement devenu évident que le principal candidat vaccin contre la Covid-19 est le vaccin à ARN messager (ARNm) développé par la société Moderna Inc. de Boston.

Aujourd’hui, Moderna a annoncé que son candidat vaccin, appelé ARNm-1273, « semblait produire une réponse immunitaire chez huit personnes qui l’ont reçu ». La réponse de Moderna est étrange étant donné que « l’étude » en question est axée sur la sécurité et « n’est en fait pas conçue pour mesurer l’efficacité du vaccin », selon un rapport publié dans TIME. Notamment, aucune des conclusions de l’étude sur la sécurité du vaccin n’a été rapportée, si ce n’est qu’il est « généralement sûr« . Il convient également de noter que cette étude « axée sur la sécurité » n’a commencé qu’en mars et ne représente donc, à ce jour, qu’un examen des effets du vaccin à très court terme.

Les principaux médias de plusieurs pays ont fait la une des journaux en annonçant que le vaccin contre la Covid-19 de Moderna « montre des résultats préliminaires prometteurs » et a présenté des « signes préliminaires encourageants » en raison de sa prétendue capacité à produire des anticorps anti-Covid-19 chez l’homme. En outre, ces rapports médiatiques n’ont pas réussi à soulever d’autres questions simples mais nécessaires, comme par exemple comment un échantillon de seulement huit personnes peut se traduire par des résultats scientifiques d’une réelle importance sans que des tests supplémentaires impliquant des échantillons plus importants soient effectués. Ils ont également omis de noter que l’étude en question n’est même pas terminée, car un communiqué de presse du gouvernement étasunien a noté que les résultats en question ne sont que des « résultats provisoires ». En outre, l’étude est menée par l’Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), lui-même dirigé par le Dr Anthony Fauci, qui est un personnage clé de la réponse du gouvernement étasunien au coronavirus.

Bien que l’on ne sache pas si ces « premiers signes encourageants » seront reproduits dans les futurs tests sur des échantillons plus importants qui sont en fait conçus pour tester l’efficacité du vaccin, la nouvelle est certainement la bienvenue chez Moderna, étant donné que leurs anciens vaccins à ARNm n’ont produit pratiquement aucune réponse immunitaire, ce qui explique pourquoi la société n’a jamais mis sur le marché un vaccin à ARNm dans toute son histoire en tant que société.

Cependant, depuis l’automne dernier au moins, Moderna a cherché à résoudre ce problème en ajoutant des « nanoparticules » à son vaccin à ARNm, une modification financée par l’Agence des projets de recherche avancée de la défense du Pentagone (DARPA). Moderna est un « allié stratégique » de la DARPA et a reçu des millions de la DARPA et de la Fondation Bill et Melinda Gates plusieurs années avant la crise actuelle du coronavirus. Les projets de la DARPA concernant les nanoparticules et les nanotechnologies et leurs applications potentiellement orwelliennes ont fait l’objet d’un récent rapport intitulé « Le dernier vagabond américain« .

Grâce aux « résultats provisoires » de cette nouvelle étude, Moderna est en passe de prendre la tête de la course pour obtenir l’approbation du gouvernement pour un vaccin contre la Covid-19. Moderna avait déjà devancé d’autres vaccins candidats contre la Covid-19 au cours des dernières semaines, étant le premier vaccin aux États-Unis à passer les essais sur l’homme (après avoir été autorisé à sauter les essais sur l’animal) et bénéficiant également d’un fort soutien du gouvernement étasunien. Par exemple, le vaccin contre la Covid-19 de Moderna a récemment reçu l’approbation accélérée de la Food and Drug Administration (FDA) après avoir reçu le « feu vert » pour passer à la phase 2 des essais avant que les résultats de la phase 1 ne soient publiés. Le président de Moderna, le Dr Stephen Hoge, a récemment déclaré que la société s’attendait maintenant à commencer la troisième phase finale des tests cet été.

En plus du soutien de la FDA, Moderna a également reçu un financement considérable du gouvernement étasunien (438 millions de dollars) de la Biomedical Advanced Research and Development Authority (BARDA), une division du HHS supervisée par le secrétaire adjoint du HHS pour la préparation et la réponse (ASPR) Robert Kadlec. Moderna a également déclaré qu’il collabore directement avec le gouvernement étasunien pour mettre son vaccin candidat sur le marché.

L’avance considérable de Moderna est également le résultat du soutien qu’il a reçu en janvier de la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI), qui a été fondée en 2017 par les gouvernements de Norvège et d’Inde avec le Forum économique mondial (WEF) et la Fondation Bill et Melinda Gates. Le vaccin contre la Covid-19 de Moderna a également reçu des millions supplémentaires de la part de Bill Gates, qui soutient Moderna depuis longtemps. M. Gates a récemment écrit un article dans lequel il décrit le vaccin à ARNm de Moderna pour la Covid-19 comme le « plus excitant » et en a longuement parlé.

L’affinité de M. Gates pour Moderna tient peut-être au fait que le co-fondateur de Moderna, Robert Langer du MIT, est un associé de M. Gates dont le laboratoire a développé le marqueur d’identification du vaccin « tatouage quantique » financé par M. Gates, qui est « visible grâce à une application spéciale de caméra et de filtre pour téléphone intelligent » et a été décrit par Science Alert comme « un système de suivi à faible risque ». Un autre partenariat Langer-Gates est une « micropuce dans la pilule contraceptive » insérée dans le corps qui libère des contraceptifs et peut être activée et désactivée sans fil.

Édition de gènes

Moderna prenant fermement la tête par rapport aux autres espoirs d’un vaccin contre la Covid-19, il est intéressant de s’intéresser de plus près à l’homme qui a supervisé son développement, l’actuel médecin en chef de Moderna, le Dr Tal Zaks. Zaks, qui a commencé sa carrière chez GlaxoSmithKline, supervise « le développement préclinique, le développement clinique et les affaires réglementaires » pour Moderna et toutes ses filiales.

Lors d’une conférence TED en 2017, deux ans après avoir rejoint Moderna, le Dr Zaks a longuement parlé de sa vision des vaccins à ARNm et de leurs modalités, y compris ceux qu’il produit chez Moderna. Dans un discours intitulé « Le potentiel d’éradication des maladies de l’édition génétique« , la description que le Dr Zaks a faite des produits à ARNm de Moderna comme étant des éditions permanentes de gènes humains, contredit les affirmations selon lesquelles le matériel génétique des vaccins à ARNm « se dégrade » avec le temps et n’altère pas de façon permanente la génétique humaine comme les vaccins à ADN.

Au début de son intervention, M. Zaks a déclaré que Moderna et d’autres entreprises similaires « piratent en fait le logiciel de la vie et que cela change notre façon de penser et de traiter les maladies ». Il décrit l’ARNm comme « une information critique qui détermine ce qu’une cellule va réellement faire » et déclare ensuite que, si l’on pouvait « introduire une ligne de code ou changer une ligne de code » dans le génome d’une personne, cela a « de profondes implications pour tout ».

Le résumé de l’exposé de Zaks résume son point de vue sous la forme de la simple question suivante :

« Si nos cellules sont le matériel et notre matériel génétique le système d’exploitation, et si nous pouvions changer quelques lignes de code ? »

Il dit également que Zaks considère que l’avenir de la « médecine personnalisée » passe par « l’édition de gènes de vaccins adaptés au système immunitaire de chaque patient ».

Le Ted Talk recommandé après avoir visionné le discours de Zaks sur le site web du Ted Talk aborde notamment un point clé que Zaks néglige, à savoir que l’édition de gènes peut « changer une espèce entière – à jamais« .

Les déclarations de Zaks sont remarquables et préoccupantes pour plusieurs raisons, notamment le fait que la DARPA – « allié stratégique » de Moderna – finance aussi ouvertement des recherches visant à « reprogrammer les gènes » et à « manipuler les gènes ou contrôler l’expression des gènes pour combattre les virus et aider le corps humain à résister aux infections » causées par Covid-19.

Le projet soutenu par la DARPA utiliserait une méthode dont on sait qu’elle provoque de graves dommages génétiques dont il a été démontré qu’elle aggrave les conditions qu’elle est censée guérir.

Avec une telle technologie de modification génétique permanente sur le point de devenir le premier vaccin anti-Covid-19 largement disponible, il est profondément préoccupant que ce vaccin expérimental aux conséquences potentiellement considérables soit en train d’être mis au point grâce au soutien fervent du gouvernement étasunien et de philanthropes controversés qui ne semblent guère intéressés par des études examinant les effets à long terme du vaccin à ARNm.

Étant donné que le terrain est déjà préparé pour les vaccinations obligatoires qui seront « distribuées » dans l’ensemble des États-Unis par l’armée, le moment est venu de sensibiliser vigoureusement le public à la capacité gravement sous-estimée du vaccin Moderna de « pirater le logiciel de la vie » d’une manière qui pourrait nuire à la santé publique.( Whitney Webb, The Last American Vagabond )


- Source : MPI

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