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Samedi, 20 Avr. 2024

Les idiocrates de l’Université française

Auteur : Dr Anatoly Livry | Editeur : Walt | Samedi, 12 Oct. 2019 - 15h42

La république française, avant de sombrer dans le chaos et d’entraîner derrière elle, doctrinalement et démographiquement, l’ensemble de l’Europe occidentale, est devenue un monstre idiocrate qui ne dissimule nullement sa folie : génocide des populations autochtones, corruption, perversité introduite au sommet de l’État. Les « garants intellectuels » de l’existence de cette despotie francophone sont ses fonctionnaires universitaires.

L’Université française connaît un régime de disette, n’arrivant plus à rémunérer correctement ses employés (« Toulouse. Six cents vacataires de l’université Paul Sabatier sans salaire depuis 6 mois » : https://www.ladepeche.fr/article/2017/03/18/2538498-six-cents-vacataires-universite-paul-sabatier-salaire-depuis-6-mois.html).

Dès lors, les apparatchiks universitaires français vont quérir des deniers chez nous en Suisse : ils fabriquent des « projets scientifiques » franco-suisses et cherchent dans les facultés helvétiques ceux qui représenteront la « branche suisse » dans ces arnaques.

Pour ce service, les professeurs suisses seront rémunérés par l’Ordre National du Mérite ou par la Légion d’honneur : ces décorations d’une Marianne se prostituant à travers le monde, devenue gueuse dans le premier sens du terme, sont l’unique moyen par lequel la république française peut récompenser les appuis des professeurs suisses. Une fois ces projets franco-suisses couchés sur le papier, les Suisses se tournent vers des mécènes de leur pays, souvent des fortunes ancestrales, qu’ils arnaquent ainsi véritablement.

Lors de ma dernière interview accordée à Piero San Giorgio, j’ai appelé les mécènes suisses qui méconnaissent encore mon action à me contacter afin de pouvoir accéder au dossier que j’ai constitué sur le fonctionnement interne de l’Université française grâce aux demandes de « qualification » (une résurgence trostko-stalinienne de l’Université française) que j’ai déposées auprès du Conseil national des Universités (CNU) depuis 2012. Comme je le précise dans mon interview, jusqu’à aujourd’hui, j’ai réussi à bloquer pour environ dix millions de francs suisses de diverses subventions destinées à l’Université française en faisant connaître la face authentique des apparatchiks universitaires français via leurs failles personnelles, administratives, scientifiques. Ainsi, j’ai épargné aux mécènes suisses un déshonneur certain et j’en donne un exemple dans cet entretien: Anatoly Livry a propos de l'effondrement de la Suisse (à 1:06:00).

Peut-être le temps est-il venu d’affermir mon action en centralisant les données que je continue de collecter annuellement auprès du Conseil national des universités (CNU) français, et ce, afin que chaque mécénat suisse d’importance sollicité pour ces fameux « projets scientifiques » franco-suisses puisse consulter mes archives, lesquelles, uniques en leur genre, réunissent des dossiers précieux sur ces clans universitaires français qui, depuis quatre générations de professeurs et de maîtres de conférences (des cancres et leurs prostitués fonctionnarisés(1)), pillent littéralement le mécénat suisse.

La république française est désormais à bout de souffle. Les agissements de ses fonctionnaires universitaires deviennent de plus en plus frénétiques : comme des chacals affamés, ils dépouillent les fortunes ancestrales suisses. Chaque fois que je parviens à démontrer à de grands mécènes suisses l’horreur et le déshonneur dans lesquels ces apparatchiks français les plongeront, ces financiers suisses crient d’indignation et cessent, enfin, tout soutien desdits « projets scientifiques » de l’Université française (cf. en particulier à 1:02:50 de ma dernière interview suisse: Anatoly Livry a propos de l'effondrement de la Suisse

Pour conclure, cet article est un appel aux mécènes suisses qui sont littéralement arnaqués, depuis des décennies, par leurs compatriotes, ces professeurs qui reçoivent une légion d’honneur pour les récompenser d’avoir aidé à détourner de l’argent vers cette France gouvernée par des énarques semi-autistes en quête d’approbation académique, laquelle en France vire en un culte de la personnalité digne de toute tyrannie sanguinaire : un Macron qui déclare ne pas savoir ce qu’est la culture française (Macron : « Il n’y a pas de culture française. » (Lyon, le 4 février 2017) : Emmanuel Macron : « il n'y a pas de culture française ») se voit consacrer un séminaire à Sciences Po (« Sciences Po Paris : un cours baptisé « Macron » »: Sciences Po Paris : un cours baptisé « Macron » (Le Point)). Pour cette raison, chers Mécènes suisses, la prochaine fois que vous vous apprêterez à délier votre bourse, faites comme vos compatriotes : consultez mes archives dévoilant la face réelle de l’Université française (j’ai en effet instauré depuis des années des séminaires destinés aux mécènes suisses de l’Université française ; ces séminaires ont toujours lieu à huis-clos, sans aucune caméra, comme je le précise à deux moments de ma dernière interview suisse : 56:21 et 1:15:30 :Anatoly Livry a propos de l'effondrement de la Suisse.

Il est certain que vous cesserez alors de subventionner cette mascarade pseudo-scientifique, tout comme l’avaient décidé d’autres de vos compatriotes pratiquant le mécénat.

Note:

(1)  Cf. à ce propos, p. ex. : Dr Anatoly Livry, « Nabokov et l’idiocratie française », p. 32-44.


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