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Vacciner les enfants sous anesthésie générale : la nouvelle proposition criminelle des idéologues de la vaccination

Auteur : Erin Elizabeth | Editeur : Walt | Vendredi, 02 Nov. 2018 - 11h39

En juin dernier, à l’occasion de la Conférence Nationale sur la Vaccination à Adelaïde, en Australie, Julie Leask, Professeure associée à l’Université de Sidney, a fait une déclaration dérangeante, annonçant que certains enfants « dont le cas est médicalement complexe » pourront nécessiter une sédation ou même une anesthésie générale afin de leur faire un rattrapage des vaccinations. Et, comme si cela n’était pas encore assez choquant, elle a aussi annoncé que les parents qui refuseront seront privés d’allocations familiales.

 

Voici un extrait de sa présentation: General anaesthesia for vaccination under No Jab No Pay/Play?

Mais gardez à l’esprit que même l’anesthésie générale comporte ses propres risques; en réalité, une étude réalisée en 2015 a lié l’anesthésie générale à « une réduction de QI et à des changements dans la structure du cerveau« . [1]

Voici quelques effets secondaires possibles de l’anesthésie générale tels qu’indiqués sur le site du Ministère de la Santé de l’Etat de Victoria [2] :

  • Blessure au site d’injection
  • Infection
  • Troubles respiratoires
  • Dommages nerveux à court terme
  • Réactions allergiques (ex: crise d’asthme)
  • Sensations et douleurs durant l’opération
  • Dommages à la bouche, aux dents, aux lèvres et à la langue
  • Dommages causés aux cordes vocales ou au larynx
  • Lésions pulmonaires
  • Attaque cardiaque
  • Dommages cérébraux
  • Accident vasculaire cérébral
  • Insuffisance rénale
  • Insuffisance hépatique
  • Paraplégie
  • Quadriplégie

Maintenant, puisqu’il ne s’agit ici que des risques liés à l’anesthésie générale, pouvez-vous imaginer ce qui pourrait se passer lorsque les vaccins sont administrés en même temps ? Cela a-t-il déjà été étudié en termes de sécurité ? Et peut-être aussi la question la plus importante de toutes : pourquoi ces enfants complexes sur le plan médical ne bénéficient-ils pas plutôt d’exemptions à la vaccination ?

Bien que le Pr Leask n’ait pas expliqué en quoi consiste « un enfant médicalement complexe », il est prudent de supposer qu’il s’agit d’enfants atteints de troubles neurologiques, tels que l’autisme, qui peut d’ailleurs avoir été initialement causé par la vaccination. [3]

Quelle cruelle ironie dès lors ! Nos pensées vont aux parents de ces enfants qui pensent ne pas avoir le choix. Nous ne pouvons pas imaginer une telle situation !

Il ne faut, du reste, pas oublier non plus que l’anesthésie générale comporte, en elle-même, des effets d’immunosuppression (bien connus et préoccupants, notamment en matière de chirurgie oncologique puisqu’on peut notamment lire dans des publications médicales à ce sujet, nous citons : « La chirurgie carcinologique est à l’origine d’un chaos immunologique périopératoire, favorable à la prolifération de cellules cancéreuses » ; que « Les agents hypnotiques de l’anesthésie ont un effet sur l’activité des cellules NK. » (NB : les « NK » = « natural killers » = un type de globule blancs particulier) ou encore : « Les opioïdes ont un effet direct et un effet indirect sur la prolifération de cellules cancéreuses, in vitro. L’effet résultant serait en faveur d’une immunosuppression des défenses de l’hôte. ».) ; cela signifie donc qu’à l’instar de divers médicaments très connus (ex: cortisone), l’anesthésie et ses effets sur l’oxygénation du corps constitue un stress particulier pour le système immunitaire, lequel est justement celui mis à contribution au premier chef avec les vaccinations, qui déjà, constituent un stress très supérieur à ce que serait celui occasionné par une infection naturelle, non seulement parce que l’organisme, dans la nature, ne sera pas exposé à tous ces germes à la fois, mais aussi parce que ces germes entreront par des voies précises, harmonieuses et progressives (en commençant par la barrière cutanéo-muqueuse que la vaccination court-circuite allègrement).

Diverses études ont déjà montré que la vaccination induit une immunodépression dans ses suites (inversion du rapport des lymphocytes T4/T8, comme ce que qui se passe en cas de SIDA mais de façon plus temporaire, pendant parfois plusieurs semaines, expliquant de facto pourquoi les sujets vaccinés sont nettement plus vulnérables que les non vaccinés à quantité d’infections opportunistes dans leurs suites, certaines pouvant hélas s’avérer mortelles).

Conclusion

On va solliciter ici un système immunitaire immature, mis en état de stress maximum alors que tant l’anesthésie que les vaccins vont provoquer un effondrement immunitaire relatif, imposant dès lors aux organismes déjà fragilisés des injonctions contradictoires (faire travailler le système immunitaire et le faire taire)… une fois encore, bonjour les dégâts !

Référence :

[1] Australian Vaccination-risks Network Inc, September 29, 2018.

[2] Australian Vaccination-risks Network Inc, September 29, 2018.

[3] Australian Vaccination-risks Network Inc, September 29, 2018.


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